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AUGUSTE BRIZEUX d'après une étude récente (J) h y a onze ans, en septembre 1888, la ville de Lorient élevait une statue à l'un de ses enfants les plus illustres. On la plaçait vers le fond de la rade, « en un bosquet charmant de sapins et de tilleuls, en face d'une source jaillissante » (2), au bord des flots mugis- sants, dont le chantre de Marie, des Bretons et de h. Fleur d'or, semble écouter la symphonie lointaine, tantôt suave (1) Brizetix, sa vie et ses œuvres, d'après des documents inédits, par l'abbé C. Lecigne, docteur es lettres,maître, de conférences aux Facultés catholiques de Lille. Un vol. in-4 0 de 505 pages. Paris, Poussielguc. (2) Lecigne, p. 26.