Pour une meilleure navigation sur le site, activez javascript.
page suivante »
                       ANTOINE DU VERDIER                        179
soubs l'obéissance du Roy. Avec la coppie de ladicte lettre. A Lyon, Roland
Le Fendant, 1594. Avec permission. — In-8°, 28 pages. La Lettre de
Jean de la Souche commence à la p. 3, la Réponse à la p. 6; à la
p. 27, est un sonnet contre Jean de la Souche (Biblioth. de Lyon,
316273). La Response de Pierre La Coignèe, où l'auteur prtnd vivement la
défense du Discours sur la réduction, est très probablement de du Verdier
lui-même. — Le Discours, la Lettre et la Réponse ont été réimprimés
ensemble par M. Gonon en 1843.
   18. Poésies diverses. Outre les longs fragments des Amours insérés
dans la Bibliothèque, et les vers disséminés dans ses ouvrages, du
Verdier en a écrit, suivant l'usage du temps, sur les ouvrages de ses
amis. On peut citer, par exemple, un sonnet dans la Philocalie de du
Croset (Lyon, 1593), une « odelette » dans les Œuvres deJeanGoddard
(Lyon, 1594), etc.



                         II.   MANUSCRITS.


    1. Les Amours, en trois livres, contenant 200 Sonnets, 2 Mascarades,
une Eglogue, 20 Odes, 50 Epigrammees, 4 Elégies. — Neuf sonnets
et deux autres pièces ont été insérés dans la Bibliothèque.
    2. Commentaires sur le Plutus, comédie d'Aristophane, traduite en
prose.
    3. Cratile et Apologie de Socrate, de Platon, traduits en français.
    4. L'Histoire de Venise, en 45 livres, d'après Antoine Sabellic et le
cardinal Bembo, avec un supplément jusqu'au temps présent, « preste
à imprimer » en 1585.
    5. La Description de toute l'Italie, par Léandre Albert, traduite de-
l'italien.
    6. Les Œuvres de Sénèque, traduites en français, avec commentaires
et annotations de divers savants.
    7. Oraison de Synese à la louange de la Chaulveié, traduite en français,
avec les scolies de B. Rhenanus.
    8. Traictè ou les Pupils doivent demeurer et estre nourris, avec un com-
 mentaire sur le tiltre DE RAPTU VIRGINUM. .. sur un faict advenu et posé
en termes généraux. — Ouvrage très probablement écrit à l'occasion du
 procès que du Verdier eut à soutenir contre Louis de Loberac.