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14e HENRI HIGNARD affectueusement mon frère. Je fais mille amitiés à toute la famille. N'oubliez pas de prier pour moi. Ah! que les bons anges de mes juges feraient donc bien de les disposer favo- rablement en ma faveur! Espérons et aimons-nous de tout notre cœur ; le succès en sera plus doux, et s'il faut y renoncer, ce sera'la consolation la plus puissante. Votre fils. A propos de M. Bedel, je compte lui écrire dans deux ou trois jours, et tout simplement par la poste. Si mon père veut, en outre, lui faire une visite, ce ne pourra faire que du bien, mais il ne faut pas lui parler d'une division de rhétorique, à moins qu'il n'en parle lui-même ; ordinaire- ment on n'en fait pas. C'est seulement pour la seconde. Adieu encore, et un dernier baiser. {A suivre.') H. HIGNARD.