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cipal argument contre lequel est venu échouer l'offre de
M. Coubayon, a été puisé dans la lettre même qu'il invoquait
tomme décisive en faveur de son projet.
Y a-t-il eu erreur de rédaction dans la lettre de M. Bous-
singault? On ne saurait le supposer; mais alors, s'il est vrai,
comme l'avance l'habile chimiste, que les eaux du Rhône
soient plus pures que celles de Royes, comment expliquer la
prétention de la compagnie par dérivation ?
Quoiqu'il en soit, on ne saurait trop applaudir à la sagesse
avec laquelle toute cette discussion a été conduite ; et notre
ville , à la veille de jouir d'un bienfait qu'elle réclamait depuis
si long-temps, n'oubliera pas que c'est au conseil municipal
de 1838 qu'elle aura dû cette mesure dont les résultats seront
si avantageux à la santé publique.
C. F.