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110 LA REVUE LYONNAISE de Feugerolles, assis sur les rocs des Cévennes et habité, tour à tour parles plus nobles familles du Forez? Dans peu de jours en- core, la Revue donnera des Mémoires dictés par elle depuis le mo- ment où la maladie a paralysé sa main et dans lesquels elle s'est plue a faire les récits les plus intéressants sur les principales phases de la vie de son illustre père, M. le comte de Saint-Priest, membre de l'Académie française et ancien ambassadeur en Russie. M. le comte de Charpin voudra bien aussi agréer l'expression de la vive sympathie des nombreux amis qu'il a su se faire dans le comité de la Revue, par son aménité, par la cordialité de ses relations et par l'apport de tant de savants travaux. Ils se plaisent à espérer que si un immense malheur a pu l'éloigner d'eux, les liens q'ui les unissent à lui ne seront pas brisés. Ils ne lui disent donc pas adieu, mais à bientôt. L. N.