page suivante »
440 LE FOLK-LORE LYONNAIS wmÈmm tu =ta=:fc= m donnes. Auprès de la blonde Ah qu'il fait bon, Fait bon, fait H^Élll^lIilI bon, Auprès de la blonde Ah qu'il fait bon dor - mir. Je chante pour les filles Qui n'ont point de mari, —- Veux-tu que je t'apporte Je chante pour les filles Des fleurs de l'oranger, Qui n'ont point de mari. Des fleurs de l'oranger, La Tour de Babylone Pour ffaire une couronne Ne vaut ce que lu donnes. Et puis nous marier ? Auprès de la blonde Auprès de la blonde Ah, qu'il fait bon, Ah, qu'il fait bon, Fait bon, fait bon, Fait bon, fait bon, Auprès de la blonde Auprès de la blonde Ah, qu'il fait bon dormir l Ah, qu'il fait bon dormir! Dans Vjardin de mon père — N'apport' pas de couronne Ya-t-un oranger, Ni de fleur d'oranger, Y a-t-un oranger, Ni de fleur d'oranger, Qui porte des oranges Car je sais bien, mon drôle, Au mois de février ( i ) . Tu n' veux pas te marier. Auprès de la blonde Auprès de la blonde Ah, qu'il fait bon, Ah, qu'il fait bon, Fait bon, fait bon, Fait bon, fait bon, Auprès de la blonde Auprès de la blonde Ah, qu'il fait bon dormir ! Ah, qu'il fait bon dormir ! (i) Dans une chanson populaire de la Vendée, deux vers ont quelque rapport à ceux-ci : Dans ïjardin de mon père Un oranger l'y a, Liona ; Il porte tant d'oranges Je crois qu'il en rompra. C'est du reste la seule chose que les deux chansons aient de commun.