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       le docteur Imbert, professeur d'histoire naturelle à l'é-
          cole de médecine, ex-chirurgien-major de l'hospice
          de la Charité,
      Buisson, pharmacien, docteur ès-sciences.
  De pareils noms auront l'assentiment général. Puisse le
rapport de ces savants être favorable au projet de MM. Cou-
bayon , Velter et O ! Adhuc sub judice lis est.



      A Monsieur le Directeur de la Revue du Lyonnais.


    Dans le compte-rendu de mon Histoire du Commerce et det
 fabriques de Lyon, inséré dans le dernier numéro de la Revue,
 il m'a semblé que le jugement de l'auteur de l'article porte
 à faux quant aux détails de statistique et de faits historiques,
 puisque, à chaque période indiquée, les uns et les autres (et
 cela suivant l'avis de ceux même qui déjà ont rendu compte
 dudit ouvrage ) sont peut-être trop minutieusement rappor-
 tés. Pour ce qui concerne la description des applications des
 sciences et arts industriels, les procédés cités dans mon livre
 sont ceux employés de nos jours, mis en comparaison de
ceux employés précédemment. Or donc., je conclus que,
pour faire admettre un tel jugement, quelques citations de-
vraient être faites comme preuves concluantes et justificatives;
 c'est ce que l'auteur de l'article a oublié de faire, oubli contre
lequel je réclame, non pour ma satisfaction personnelle d'au-
teur, ni dans l'intérêt de mon travail, mais pour m'acquitter
d'un devoir envers les personnes et les administrations com-
pétentes qui m'ont fourni les renseignements et communiqué
les matériaux dont je me suis servi.
                       J'ai l'honneur de vous saluer.
                                       C.   BEAULIEU.
  Lyon, le 4 août 1838.




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