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                    LA CR&M DU MOWtVrHOU                   41

 Mercruy qui terminent-le massif d'Yzeron, se développent
 les hauteurs'dont la chaîne sépare là Brevenne de la-
 Loire et à Fex-trëmité septentrionale desquelles le regard
 rencontre le Val de la Tardine. Il rencontre alors le cours-
 àe cette rivière, passe par-dessus le col que franchit lé
 chemin de fer au-dessous des Sauvages et grâce au Rhins
 et à ses affluents qui forment, du côté forézîen de là chaîne,
 la contre-partie du pli de la Tardine, ne rencontrant-au-
 cun obstacle, distingue, à l'extrême horizon, les monts df&-
 la Madeleine qui se dessinent-, presque aussi bleus que le:
 ciel,-au delà de Roanne et de la Loire. Puis un groupe-
 de sommités qui1 sont, pour nous, adroite de Tarare, com->-
 menee la sériedes hautes et pittoresques cimes du Beau^
jolais/que le cours de l'Azergue sépare-en deux parties.
    En avant des montagnes de Tarare et du Béàtfjôlàis,
 dont les contrefor-ts descendent-jùsqu'-à la Saône-, se dé-
 coupent les deux* sdi&Hïets d'il Verdun et1 la- Garenne de'
 Pole|y*liéUx qui nousicache le cOtfrs supérieur* du; fleuve ;
 une légère dépression qui se- creuse'au-dessous de là Ga-
renne et au-dessus du village dePoleymiëuxnous- permet
de le voir encore une fois, entre Trévoux et Anse. Apar-
tir-de là s'abaissent, jusqu'à Vilvert que nous ne voyons
pas-, une suite de mamelons qui prolongent la montagne
jusqu'à Saint-Ger-main. Alors, à l'extrémité dît-vallon qui
s'ouvre à nos pieds, entre le Verdun et le Thou, nous
retrouvons la ligne des coteaux, que nousi avons déjàvue'
border* la Saône, puis les Domfoesi et la- Bresse dont les
plaines sans relief prononcé vont,; au nord; se perdre
dans les 'brumes de l'horizon bourguignon u Enfin, après-
avoir contourné dans un der-nierMigard la base, du mont
Thou, nous revoyons-le pont de Goazon et le ravin- de>
Sainti-Romai»j points deideparfr dû voy&g&'qwnoaymX1
vienneûtdifr'fait'e'autour duMont'di'Oi?.