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240 Un chasseur vert, un groom, un page, Une campagne pour l'été. iiL J'aurais... — Une pâleur livide S'épandit sur la lèvre vide Où se pressaient tant de douleurs ; Et puis , en baisant son rosaire : « Non, non , mourons dans ma misère , » Dit l'orpheline, tout en pleurs. Jeunes filles, priez pour elle ! Comme vous elle est jeune et frêle , Celle qui sanglotte en passant ; Mais son pied que le pavé blesse , Au pavé blanc bien souvent laisse Une empreinte rouge de sang. Sophie GRANGE,