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Un chasseur vert, un groom, un page,
Une campagne pour l'été.


                iiL

J'aurais... — Une pâleur livide
S'épandit sur la lèvre vide
Où se pressaient tant de douleurs ;
Et puis , en baisant son rosaire :
« Non, non , mourons dans ma misère , »
Dit l'orpheline, tout en pleurs.

Jeunes filles, priez pour elle !
Comme vous elle est jeune et frêle ,
Celle qui sanglotte en passant ;
Mais son pied que le pavé blesse ,
Au pavé blanc bien souvent laisse
Une empreinte rouge de sang.

                      Sophie GRANGE,