page suivante »
CONSIDÉRATIONS SUR LA DOMBES. il de fortune s'empare des esprits, et plus de misère et plus de délits touchent à plus de bien-être, comme si la souf- france et le mal devaient suivre notre mouvement. Le dernier mot de nos institutions sociales n'est pas dit. Dans un temps où les familles se dispersent et les tra- ditions se brisent, l'oa ne saurait trop honorer ceux qui cherchent à faire revivre la mémoire de leurs ancêtres. M. d'Assier ne s'est pas borné là , son culte s*est étendu jusqu'au pays où vécurent ses aïeux, et son livre, inspiré par une pieuse pensée de famille, restera comme un document précieux pour éclairer l'histoire locale.