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            FRANÇOIS DE ROYERS DE LA VALFEMÈRE.                 127

                Sceau de Françoise de Clermont.
         FRANÇOISE DE CLERMO[NT]. Légende en capitales
romaines entre grenelis. Dans le champ un écu en cartouche
aux armes de Clermont et surmonté d'une crosse contournée
passée derrière. — Sceau elliptique ogival (fig. 5).
                       Sceau conventuel.
   Pas de légende. Grand écusson en accolade portant une clef
en pal, accostée des lettres S. P. (Sanctus Petrus).
   Cette empreinte apposée au nom de « Claude Perrette,
prieuse » à une quittance de lods de 1599, est tracée en creux
sur placage de gomme-laque, et doit avoir été obtenue, non à
l'aide d'un sceau, niais au moyen d'un fer chaud tel que ceux
que l'on emploie pour marquer Ses tonneaux. Nous ne l'avons
point fait graver parce que le dessin en est tout à fait grossier et
élémentaire et que, d'ailleurs, une description était suffisante.

            Sceau de Françoise de Lévis Ventadour.
  Ecusson en accolade portant : au 1 er de Mîolam, au 2e de
Lévis, au 3 e d'Anduze, au A" de la Voulte et sur le tout de Ven-
tadour. L'écu accosté de deux palmes et surmonté d'une crosse
passée derrière. Pas de légende. — Sceau elliptique (fig. 6).
                  Sceau d'Elisabeth d'Epinac.
   Pas de légende. Ecu en accolade, ècartelê .- au 1 er mnlrémr-
telé au 1 er de     , au 2e de       , au 3° de Bourbon La Mar-
              e
che (?), au 4 de à 3 chevrons surmontés de,       , au 2e de [sable}
                                          e
à la croix d'[or] qui est d'Albon; au 3 parti d'[argent] à la
jase de [gueules-] et d'[azur], qui est de Jares, (contourné);
au 4e cinq points d\or] équipollés à quatre d'[azur], qui est
d'Urgel ; sur le tout d'[argent] au lion de [gueules] à la bordure
 de sable besantée d'[or], qui est d'Epinac ou Apinac. L'écu en-
 touré d'une cordelière et surmonté d'une crosse passée derrière.
    Ce sceau, du même genre que Je précédent, n'a pu être des-
 siné : l'uniqne empreinte qui s'en est conservée est tellement
fruste que les armoiries qui la composent sont à peu près indé-