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Là PUBLICITÉ A LYON IL Y A CENT CINQUANTE ANS 353 qu'il n'en fait point vendre en ville et que celle qu'on pourrait lui présenter sous son nom ne serait pas de la sienne. Il demeure place des Jacobins, à côté ï'Eglise, au-dessus du Perruquier, au second étage : son écriteau est sous ses fenêtres. — 21 juin 1758. A vendre : Vers à soie, qui sont réveillés delà troisième, ils sont en fort bon état. S'adresser au Bureau d'Avis. — 7 juin 1758. Le Public est averti que le nommé Astier, fabriquant de cartons, rue Belle-Cordière, maison des Balcons, au fond de la cour, achète de vieux livres de comptes, vieilles lettres et généralement toute sorte de vieux papiers, qu'il met au pilon en présence des personnes qui l'exigent, pour qu'il ne reste aucun vestige de leurs papiers anciens qu'il con- vertit en cartons. — 22 juin 1757. A vendre, six grands pieds d'arbres de Pin, gros et bien droits, d'environ cinquante pieds de hauteur, à vendre. Ils sont sur plante et à la porte de la Ville, ce qui est une faci- lité pour ceux qui voudront les acheter, soit pour des mais ou pour des mâts de coches et diligences ou pour tous autres emplois. — 13 décembre 1758. A vendre, deux bateaux appelés plattes, pour laver la lessive, situés sur le fleuve du Rhône dans le plus bel emplacement. S'adresser à M e Cabaret, conseiller du Roi, notaire, place de la Fromagerie, qui donnera les éclaircisse- ments littéraires. — Mercredi 18 mai 1757. Vingt douzaines de fusées volantes, faites par un habile artificier, à vendre en tout ou en partie. S'adresser chez Mmt Blain, aubergiste, quai Saint-Clair. — 17 août 1757.