Revue du Lyonnais » série 1 - n°12 ( 1840 ) » pp.160

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vè, ce qui ne peut comprendre qu'une seule chose et ne peut
dépasser une barrière, avec l'orgueil humain ne voit rien de
plus grand que cette chose et rien au delà de cette barrière
que la brume de l'espace, c'est-à-dire le chaos d'une imagi-
nation qui divague. L'espèce de mépris des esprits qui s'ap-
pellent positifs et froids pour les esprits ardents et les ima-
ginations vives n'est, peut-être, qu'une impuissante envie ?
                                       A. PROVÈRE.
    B. 25 novembre 1839.