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BIBMOQIUPHIE. 27 Que depuis cent vingt ans le diabie nous enroule, .... Oui, depuis cent vingt ans, tout ça c'est hérétique, — Te m'épates, Vcrnu, ou te perds la raison. Quoi ! nos anciens que sont endormis à Lovasse Depuis quatre-vingts ans, et que dorment si bien, Auraient été volés ! allons donc, t'es cocasse ; Où diable as-tu pris ça? Moi je n'en crois ben rien. — Garancin, mon ami, je ne perds pas la boule ; Ce que je t'en dis là c'est couché tout au long, Depuis bientôt six mois, dans les journaux ; ça roule Dessus la liturgie, en un mot ; quant au fond Voici l'affaire ; attends, je mouche la chandelle. Te n'as pas oublié que, l'an dernier, le diable Dans la Vieille-Moniioie a fait un joli train, Rien n'y servait, c'était sabbat épouvantable. Te l'as vu comme moi, mon pauvre Garancin. . Les canantes pleuraient; on prit des eaux bénites; Mais çafitdu profit, comme sur mon toupet L'eau de Lob, qu'un jour, côte des Carmélites, Un merlan me vendit... toujours du Montazet, De l'eau claire, pas plus...Voyant les balançoires L'archevêque partit pour Rome à la vapeur. Aussi dorénavant, ça c'est bien entendu, Reconnu, discuté que discuteras-tu ? Ton vieux livre de messe et ton antiphonaire Ça n'est bon qu'à brûler comme du vieux Voltaire. — Vernu, t'as trop voulu mépriser le métier; T'ns trop fait le savant et te crois des bélises. Moi que suis une bète et que ne sais que faire Une croix pour "signer comme luisait mon père,