page suivante »
COLONGES AU MONT-D'OR. 3i)l visées de vent, la vigne des héritiers de mallre Jean bebombourg, notaire royal, qui fut du dit Jean Dupin, dit Delorme, et après des Gaigneur, mouvant de la rente de Sandars, qui était ancien- nement du seigneur archevêque de Lyon, du matin, la vigne de Lambert Ravier, divisée de bize, sous le cens et servis annuel et perpétuel égalation faite d'un demi raz et un seizième d'autre raz d'avoine, d'un tiers de quarte et la douzième d'autre quarte de vin, le tout mesure de Lyon, et de deux deniers forts. — Item, fait et passé à Golonges, le 21 mars 1677, en présence de Michel, notaire royal, dûment scelle. 1677. — Claude Beney, dit Goy, tant en son nom que de Barthelemye Turrin, sa mère, volontairement reconnaît et con- fesse tenir, porter et posséder en cmphitéose perpétuelle de la directe censive et seigneurie haute, moyenne et basse de W* Jac- ques-Gabriel de la Chaize d'Aix Dubut, archidiacre de l'Ile— Barbe, seigneur du bourg de la dite île, Caluire, le Vernay, partie de Colonges, et autres lieux absent, le notaire royal sous- signé pour lui présent et acceptant. Premièrement : Une vigne contenant environ trois fosserées ou une bieherée, située proche le puits d'Ouillon, territoire ùatrêve d'Oullion, par le confes- sant acquise de la veuve d'André Manissier, faisant un quart du sixième article de la reconnaissance de Jean et Pierre Manissier au terrier Pontis ; fut après du dernier article de la reconnais- sance de Laurent Valensot, au'terrier Ruyon faisant ensuite le quart du cinquième article de celle de Jean Manissier au terrier Riche, jouxte la terre et vigne de Hugues Gamboyson et de la veine de Pierre Rey qui furent des Servandon et auparavant des Guy. Le chemin tendant des maisons du Gruix ou de là Chonnière ou des maisons des Manissier et Compagnon au puits à 'Oullion ou à la Pellmnière entre deux du matin ; la vigne de Jean Va- lensot dit Marne divisée de vent, celle de Pierre Compagnon l'aîné dit Cordonnier, par un coin aussi de vent ; la vigne de Jeanne Amy et Pierre Compagnon, son fils, aussi diusée de soir et la vigne de Jean Favrin, acquise du noble Kaymond de Lau-