Revue du Lyonnais » série 3 - n°16 ( 1873 ) » pp.238

238                       CONSTANCE DAYMER.
  Je t'écrirai dans peu et t'enverrai quelques souvenirs de jour
de l'an, pour la maison et pour Saint-Vit.
            • Ton affectueuse sœur : SAINT-ÉTIENNE (Ursule).


                           LETTRE XXVII.

 Du Président de la Société de Saint-François-Régis, à
    Chambéry, à la sœur hospitalière Saint-Etienne.
                               Chambéry, 28 décembre 1866.

          Ma vénérée sœur,
   Au dossier que vous m'avez fait tenir, il ne manquait qu'un
acte de naissance, et, grâce à vos indications orales, la recher-
che en a été facile. Les papiers sont maintenant en règle. Le
consentement de M. L... nous manque seul pour aller en avant.
J'ai fait écrire une lettre de nature à l'amener ici et l'ai fait ex-
pédier à trois adresses différentes. J'ai l'espoir qu'avant peu il
donnera signe de vie, et peut-être le verrons-nous ici même.
  Votre respectueux serviteur,
                                      Le conseiller BERLIOZ,
                Président de la Société de Saint-François-Régis,

                           LETTRE XXVIII.

                         Du même à la même.
                                Chambéry, 31 décembre, midi.

          Ma vénérée sœur,
  M. L... est dans mon cabinet. Si vous pouviez venir vous-
même, le succès serait plus assuré. Je vous attendrai une
heure.
                            Le conseiller BERLIOZ.




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