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LETTRES D'HIPPOLYTE FLANDRIN" (SUITE) (Post-scriptum à une lettre de Paul Flandrin, datée de Rome, h 7 août ISJJ.) MON CHER LACURIA, E ne sais si vous pouvez vous figurer toute l'amitié que j'ai pour vous ! Et combien je vous désire et combien je regrette nos promenades et nos conversations du Luxembourg ! Quel bonheur que cette communauté d'idées et de sentiments!... Oh, je demande à Dieu la grâce de conserver un ami comme vous, mais aussi le bonheur d'en jouir... car à la distance où nous sommes!... Cependant je ne vous oublie guère: il me semble encore sentir votre main et voir votre visage. Je sens que nous nous comprenons toujours! J'espère que nous (*) Voir les numéros des mois de mai, juin et juillet. N° 2. — Août 1888. 7