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CHRONIQUE MUSICALE. 351 che, parvenir à combler la profonde lacune à laquelle ce char- mant répertoire paraît condamné sans appel. Ce sont là de-ôon- nes pensionnaires, si vous voulez, des soprani assez agréables et surtout infatigables, mais tout à fait hors d'état de donner digne- ment la réplique à notre excellent Dufrêne, toujours pur, correct, suave, si distingué par la voix, par le chant, la forme, l'intention, le débit et la pose.