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                    DE JOSEPH DE MA1STBE.                      235

y sera remplacé par le plus grand des Thaumaturges, etc.
Quod felix faustumque sit.
   Ma femme me charge spécialement de bien des compli-
ments pour vous. Recevez les miens envoyés de tout mon
cœur. J'accepte avec joie et reconnaissance ce sentiment
que vous m'offrez à la fin de votre lettre, avec tant de grâce
et de bienveillance, et en me recommandant à votre sagesse
pour ne pas me brouiller avec M. R., je passe (comme
on dit en Italie) à vous renouveler l'assurance de mon éternel
attachement.
                                                  M.
                             V.

                                   Turin, 18 septembre 1820.

       MONSIEUR,

   J'ai lu avec un extrême plaisir votre longue et intéressante
lecture du 8. Vous m'apprenez bien des choses et vous m'en
expliquez beaucoup. Puisque vous y consentez, j'envoie le
M. S. directement à M. R. J'aurais peur d'être fade, si
je vous répétais l'expression de ma reconnaissance. Elle est
véritablement sans bornes. Vous jugerez en me lisant que
jamais on n'a pu faire plus d'honneur aux observations
d'un homme en qui l'on a toute confiance. Il n'y a pas
une de vos objections sur laquelle je n'aie fait droit. Peut-
être même, Monsieur, vous ne me trouverez pas gauche
toul-à-fait, lorsque j'ai épousé vos idées et que je vous ai
donné place dans l'ouvrage. Vous verrez.
   Voici l'histoire de l'avis des éditeurs. C'est moi qui ai
tort, parce que j'aurais dû vous écrire directement. J'ai
profité avec reconnaissance de vos éloges, parce que la fiction
reçue permet de supposer que je ne vous ai pas lu ; mais
dans une seconde édition, n'est-ce pas comme si j'écrivais