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       SOCIÉTÉ DES AMIS DES ARTS.


                   EXPOSITION DE 1842-184.'»'.



   Nous n'avons pas la prétention, en passant en revue notre
Exposition lyonnaise, de classer le talent par genre, bien
moins encore par numéro; nous suivrons simplement l'im-
pulsion du moment, du caprice même, sans autre plan ar-
rêté que celui de nous occuper d'abord des artistes de notre
cité.
   La perle de deux peintres qui ont puissamment concouru à
relever notre Ecole de la défaveur où elle était tombée, laisse une
triste lacune dans notre Exposition ; Guindrand, dont le bril-
ant talent, aidé d'une riche organisation, semblait grandir
 chaque jour, meurt moralement au milieu de sa carrière ;
 Flandrin est enlevé aux arts, au moment où il recueillait le
 £uit de ses longues études. Sans doute, nos artistes lyonaa