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378 NICE A VOL D'OISEAU cotillon, tu tendras de nouveau tes séduisantes amorces et reconquerras bientôt un sceptre d'or, tes étoiles flamboyan- tes et tes écus d'hermine au chef de gueules écartelé de sable et d'azur. Combien de ta magnificence Je garde douce souvenance, A ton beau ciel, les nuits, les jours, Je pense A toi mes plus chères amours Toujours ! C. DROITEAU.