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128 fils n'est-il pas moulé sur lui- LE BOURGMESTRE. même ? Je te le dis, voilà son Alors nous n'avons pas besoin portrait : et sa personne sacrée de cloches. Mais il faut devant la se promène au dessus de nos maison une garde d'honneur. têtes. MADAME STAAR. M. STAAR. Nous y sommes ! 11 voyage in- Devant notre maison ! Si je cognito. vois une garde d'honneur, je SrERLTNG. prends une attaque d'apoplexie. Le père de la patrie dans une SPERLING. carrière ! Le "voilà ! LE BOURGMESTRE. MADAME STAAR, VCUt Se UWT. Ah ! mon Dieu ! Eh ! que faire maintenant? 11 faut rassembler la Mon Dieu ! mon Dieu ! garde bourgeoise avec le vieux LE BOURGMESTRE. tambour. Un peu de courage. SPERLING. Et la compagnie des arquebu- siers avec leur bannière. SCÈNE VI. M. STAAR. OLMERS, LES PRÉCÉDENTS. Et le magistrat avec les or- OLMERS. phelins. Une maison fort commode en MADAME STAAR. vérité , cher bourgmestre , et Hélas! pourquoi feu mon mari une vue ravissante. J'espère pas- ne vit-il plus ! ser ici des heures agréables. LE BOURGMESTRE. LE BOURGMESTRE. Mais est-ce bien certain ? Très gracieux souverain M. STAAR. OLMERS. Comment, mon frère, pouvez- Comment ? vous encore douter ? Notre mère M. STAAR. n'a-t-elle pas vu son grand-père ? Votre royale majesté SPERLING. OLMERS. Le portrait ne laisse rien à Quoi? contester. SPERLING. MADAME STAAR. Glorieux monarque.... C'est le roi, je te le dis. OLMERS. LE BOURGMESTRE. Vous jouez-vous de moi ? Il faut mettre en branle toutes MADAME STAAR. les cloches pour rassembler la bourgeoisie. Oint du seigneur.... MADAME STAAR. OLMERS. Les deux cousines sont déjà Sommes-nous donc etu six parties. janvier?