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222 LA REVUE LYONNAISE rendre responsable de la banalité, hélas ! toujours croissante de ses expositions, me parait a la fois un acte d'ingratitude et un oubli absolu de la situation actuelle de l'art. Il faut chercher aux grands effets de grandes causes, et d'autres motifs à cette décadence que les vices d'organisation ou de fonctionnement d'une société, à laquelle on peut bien reprocher peut-être une indulgence trop facile et des préférences parfois malheureuses, mais dont je persiste, malgré tout, à apprécier l'utile influence sur le développement artistique de notre cité. Élie VALLENAS.