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f) POÉSIE. t Dans ce réduit, où le mur sue et pleure, Le papier peint par la colle attaché, Payé pour ça, mais las de son marché, Fait cent efforts pour fuir cette demeure, Grimace, bave, et sur tous les enduits, Décoloré, pend en lambeaux pourris. A la Saint-Jean, quand le soleil éclaire De plus de feu notre part d'hémisphère, A la Saint-Jean, frileux et grelotant, Plus que jamais le poêle est nécessaire A réchauffer le corps de ton enfant. Juge, ô mon maître, à combien de. misères Je suis sujet quand viennent les jours froids, Lorsque la bise engourdissant mes doigts, Les pieds glacés dans ces lieux tumulaires, Ton pauvre élève, ayant la goutte au nez, Charge un cahier de chiffres mal tournés; D'un un cagneux, d'un zéro qui s'étale Plutôt carré qu'ayant la forme ovale : Chiffres maudits ! vu leur condition, D'un total vrai faussant l'addition. Adieu pour moi l'heureuse et douce chance Du premier coup de trouver ma balance ! Le mal est fait, et je dois transpirer, Pointer, chercher, fouiller, dans l'espérance De voir la brèche et de la réparer. Foin du local et vive la paresse ! Livres adieu ! santé passe richesse. C'est décidé, je laisse à quelque fou Le peu d'argent qui se gagne en ce trou. Vers le Midi, la muse le conseille, Maître, j'irai, quand l'automne vermeil