page suivante »
80 ANNE DE GEIERSTE1N. Des conseillers qui sortent de l'enfance ? RODOLPHE. Non ! nos vieillards ne pensent pas fia nous ouvrant les yeux manquer à la sagesse La tête doit montrer au bras Le bul offert à son adresse. BIEDERMANN. Non pas avant le jour où le bras doit agir ! De honte et de chagrin je sens mon front rougir Quand je vois nos enfants si pleins de confiance Je veux croire à votre vaillance, La sagesse viendra plus tard. Allez, enfants, allez dans la prairie. (A Arthur). Vous qui n'êtes pas montagnard, Restez près de nous, je vous prie. PH1UPS0JS. Non, non ! qu'il montre à ces jeunes guerriers Que les enfants de l'Angleterre Savent aussi se couvrir de lauriers SCÈNE IV. BIEDERMANN, PBIUPSON BIEDERMANN. Bon marchand, vous aimez la guerre PHIUPSON. Je fus soldat et je m'en fais honneur. Pour mon pays j'ai dû prendre les armes. Et maintenant je sens mon pauvre cœur Frémir encor, tressaillir de bonheur Au bruit du fer. aux cris d'alarmes.