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Critique littrrotrr. ODES ET POÈMES, rA R M. VICTOR DE LAPRADK. ïiiii asu L nous seradebien permis, en sans quelque cet article, rappeler, non commençant 1ŒH ÉHIPII orgueil, que cette Revue fut le modeste 3fc%^rtjfflw^a théâtre où M. de Laprade a fait ses pre- |m^j^| fH mières armes. Depuis lors il a grandi, il a H ^ S f f ^ l prouvé qu'il n'était pas indigne de s'asseoir à côté des individualités les plus illustres, sans redouter leur voisinage éblouissant. Le public, toujours si rebelle à appren- dre un nom nouveau, a retenu le sien. Pour notre part, débar- rassé des considérations qui imposent toujours une certaine mesure aux sympathies les mieux fondées, lorsqu'il s'agit d'un