Revue du Lyonnais » série 1 - n°4 ( 1836 ) » pp.529

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                       RÉCLAMATIONS HISTORIQUES

                                   AU SEJET


 DES TROUBLES DE LYON EN 1793,
                               articles contenus


                ÈDatw notre Ctotatson irWciobte.


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   Nous avons reçu d'un correspondant anonyme les rectifications suivantes et
les renseignements qu'on va lire. Nous les consignons ici avec empressement,
car1 ils nous viennent d'un homme qui paraît pouvoir dire, à propos du siège
de notre ville : Quorum pars magna fui.
Page 260. Chalier (et non Chalier) fut en effet d'abord séminariste , mais en
             1787 il devint voyageur de commerce. C'est d'Italie qu'il rap-
            porta les principes qu'il avait puisés chez les fougueux révolu-
            tionnaires de ces contrées , et qu'il mit plus tard en action.
                En 1790 , Chalier était chef associé de la maison Bertrand ,
             Chalier et C ie , marchands de dorures et de soies en commis-
             sion , à l'angle septentrional de la rue Neuve et de la rue Si-
             rène , au 1 e r . Il demeura ensuite place du Collège, maison du
             Tambour. Son club était sous la voûte du Collège.
Page 279. Lisez Laurençon et non'pas^Laurençot.
               Ce Laurençon n'avait de commun que le nom avec Lauren-
             çon de Moroant, dont il est parlé plus bas.




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