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303 avenues de la cité. En 1554, un poète lyonnais, Maurice Scève, disait : Comme au faulxbourg les fumantes fornaises Rendent obscurs les circonvoysïns lieux ; tant est noire, épaisse Leur grand' fumée en l'air qui se pourmeine (4) Trois tombes de familles portugaises domiciliées à Lyon, entr'autres celle-ci : TEGITYH HOC LAPIDE GRATIA RODORICAT LVSITANM REGNO ORIVNDA OLIM VXOR MAGISTRI RODORICAT QVM OBIIT 7IDVS OCTOBRIS 1556ETPRO SE SVAQVE POSTERITATE ISTVD MONYMENTVM ELEGIT QV/E REQVIESCAT IN PACE. AMEN. Celle d'un sieur de Pons, mort en 1527. D'autres pierres sépulcrales, la plupart des 15e et 16e siè- cles , ne laissent entrevoir que quelques noms sans suite, de marchands, de fourbisseurs, de grenetiers, etc. Dans le jardin de la Pépinière, et tout autour de la maison conventuelle, on lit sur quelques pierres éparses diverses inscriptions ; la plus remarquable, c'est celle d'une des modestes autori- tés du voisinage : D. 0. M. CI GIST HONORABLE HOMME FRANÇOIS VALLETON (1) Voir M. BREGHOT DU LUT, Nouv. Mélanges , p. 100.