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507 R.des Auguslins. 9 Savaron.— 13Bauchage. Hue M. Jean. 9 Pontus. — 4 2 MatUon de la Cour. — 8 2 Dépure. Rue Tramassac. 5 3 Vial, veuve. — 5 2 Ravier. Rue Juiverie. 7 3 Meunier. — 8 6 Tolozan. Rue de la Vieille Monnoie. 15 Savy, p è r e . P. de la Liberté. 107 Déchamps. — 414 Antoine Spreacier. R.desDeux-Anglcs. 113 Bichardon. — 2 0 Sturlat. Ruedel'Ârbalette. 9 4 Guillin de P o u g e l o n . — 103 Idem. Rite St-Marcel.\ 12 Dévarissan. Fait en Commission le premier Nivôse, l'an 2 e d e République Française, u n e , indivisible e t démocratique. Signe, PERROTIN, V i c e - p r é s i d e n t ; DUHAMEL, FUSIL, MARCILLAT » AGAR, LECANU, DESSIRIES, etDoviQUET, Secrétaire. 1820. » Mort d'André Margaron , n é à Lyon le 2 8 février 1759 , officier pen- dant le siège de cette ville, e t c . , compte-rendu de la Soc. d'Agr. 1622. 2 2 M^-rt de St-François de Sales dans le couvent de la Visitation. — Sui- vant le P . Binet, St-François disait de lui-même « qu'il n'y avait « quasi q u e Dieu et lui q u i aimassent les pauvres pêcheurs. » On connaît aussi ce mot de Louis XVI : « Il n'y a que moi et M. Turgot « qui aimons le peuple. > Barbier , Examen » critiq. article Bi- net ( le P.) 1675. » Locke passe à Lyon et visite le collège des Jésuites. Arch. du Rhône, XII, 7 2 . 1823. » M. d e Pins, alors évêque de Limoges, est nommé administrateur apos- tolique du diocèse de Lyon. 1502. 2 3 Mort, à L y o n , de Loys de Luxembourg , seigneur de Ligny, dont le r o y , les gentils-hommes de c o u r t , manants et habitants de Lyon furent bien m a r r i s , et non sans c a u s e , car c'estoit un seigneur aymé de chacun. Nouvelles Chroniques à la suite de celles de Monslrelet. ï/67. » Publication d'une ordonnance de Police dont voici le texte : DE PAR LE ROY ET MONSEIGNEUR DE BIRAGUE , LIEUTENANT-GÉNÉRAL POUR SA MAIESTÉ EN CETTE VILLE DE LYON. « Pour ce q u e nous sommes informés et aduertis que ceux d e , la religion prétendue reformée qui sont encore en ladicle v i l l e , font /V plusieurs pratiques et menées a cause des intelligences qu'ils ont ) et peuuent auoir auec ceux de la prétendue religion, qui sont en grande assemblée et hostilité d'armes es pays circonuoysins e t proches de cette dicte ville. Il est faict très exprès commandement à tous ceux de la religion