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    VII. Une Séance de lEcole d'Enseignement, miduel de Lyon;
 Lyon, ïarge, 1819, in-folio, brochure assfi vivement censurée
 par Onuphrc Moulin , dans l'Enseignement mutuel dévoilé; Lyon,
 1820.                ,                    *
    Y1II. Nouveau Formulaire médical et pharmaceutique ; Paris ,
 Rey et Gravier; Lyon, Cormon et Blanc, 1820 , in-8".
    IX. Remarques sur l'Aimanach des Muscs de Lyon et du Midi de
la France, pour l'année 1822; Lyon, Kindclcm, février 1822,
'in-8". C'est une spirituelle critique des petits vers que M. Ch.-J.
 C** ( Chambel) avait rassemblés dans son Almanach.
    X. Précis élémentaire ae Police médicale, premier cahier, in-
 troduction ; Lyon et Paris , Cormon et Blanc, juillet 1824, in-8°.
    XI. Dissertation sur les Médecins-Poètes ; Paris, Cormon et
 Blanc, octobre 1825 , in-8". Des recherches curieuses, des notes
 intéressantes, un style pur, une érudition choisie, distinguent cet
 opuscule, qui est loin, du reste, d'être complet. L'auteur ne
 fait pas difficulté de l'avouer; mais, dit-il, je croirai participer
 à la gloire d'un travail plus complet, si celle dissertation , telle
 qu'elle est, avec ses inexactitudes, ses lacunes, ses nombreux
 défauts, pouvait déterminer quelque jour un homme détalent
 à exécuter cet intéressant Iravail (1). » \oyez L'Eclairçur du
 Rhône, 11 octobre 1825.
    XII. De l'Huître et de son Usage comme aliment cl comme remède;
 Lyon, imprimerie de Boursy, février 1827. in-S°. Celle disserta-
 tion n'est pas uu traité complet de l'histoire naturelle do l'huître;
 ce n'est que sous deux rapports , comme le litre l'annouce, que
 Sainte-Marie examine le molusque dont il s'agit.
    Comme aliment, son usage monte à la plus haute antiquité;
 les gourmands de Home en faisaient grand cas, et les auteurs
 classiques nous ont conservé sur ce sujet quelques anecdotes
 curieuses. L'auteur cite la suivante : « Exilé à Marseille pour le
 meurtre de Claudius, Milon supportait sa mauvaise fortune avec
 courage et même avec gaîlé. Ayant un jour reçu de Cicéron un
 plaidoyer bien supérieur à celui que l'illustre orateur romain
 avait prononcé d'abord., il lui répondit : Je m'estime hemeux que

  (1) Page 80.