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- L'Echo de Lyon16 novembre 1892dérangés. — Des gardiens en Wj r, tournée, la nuit dernière, ont remarqué que ' des cambrioleurs avaient essayé de frac-Gn 1 in turer le « pied-humide » qu'exploite M. det 1-Pierre
- L'Echo de Lyon29 août 1892agents de la sûreté i nt en tournée aperçurent trois individus en * train de fracturer le a pied humide » de Mm« -Gigoud, à l'angle de l'avenue de Saxe et de la rue Paul-Bert. \ ir Les jambe; mais l'interne de service qui nous l'a visitée, n'a constaté qu'une simple lésion s les du Pied droit. Son état n'inspire aucune inquiétude. ' l'en-Vol au poivrier. — M
- L'Echo de Lyon12 juillet 1892'a pas de chaussettes et il le regrette. — J'ai, dit-il, les pieds humides, et il me serait plus facile d'enfiler mes bottines. ' Se tournant ensuite vers le gardien, il demande la reproduction de cet intéressant document, qui est écrit sur deux pages, et dans lequel Ravachol expose ses théories. au col de sa chemise et lui met une en-trave aux pieds. Cette
- L'Echo de Lyon01 juillet 1892'il venait de fracturer un « pied-humide » sur le quai de la Charité. Un complice qui t'a aidé dans sa besogne, a réussi à prendre la fuite. Théâtre des Célestins. — Nous rappelons rivière et bientôt le cheval perdit pied. a M. Morel sauta à l'eau, espérant s'échapper f a la nage, mais atteint par une ruade que r lut détacha l'animal en sa débattant, il coula t et
- L'Echo de Lyon17 mai 1892'a mis en état d'arrestation. . Chronique du feu. — M. Hérisson, qui ** 6 exploite cours Gambetta un pied humide , sur la place du Pont, avait oublié hier de cil fermer le bec de. Ravachol avait les menotes aux ' mains et les entraves aux pieds. Il a re-fusé de faire des aveux sur l'assa$sina+ des dames Marcon. w. VWJ-~ *** * vd.it connaître les accu-B sations
- L'Echo de Lyon13 avril 1892auteurs d'une série de vols avec effraction commis ces derniers mois. En outre, ils avaient la spécialité de dé-valiser les « pieds-humides » et au moment de leur arrestation, ils
- L'Echo de Lyon04 avril 1892trottoir près de la Ficelle. Voleurs dérangés. — En ouvrant le :< pied humide » qu'il exploite quai de l'Ar-îhevêché, M. Auguste Marchis, rue des Deux-Cousins a remarqué sur la
- L'Echo de Lyon03 avril 1892, car la nuit dernière, un ^ ??s" « pied humide », tenu par Mme Louise Saur, , ^ère quai de Bondy, près, du pont du Change, a fr t la été fracturé à l'aide d'une-pince-monsei-on v
- L'Echo de Lyon25 mars 1892ont emporté quelques litres de liqueurs, du sucre et de la vaisselle. Les mêmes voleurs ont cherché â fractu-rer le « pied humide » de M. Dupont, à l'entrée du pont du Palais pour ceux qui écu-ment en plein quai les pitds-humides. Dans la nuit d'avant-hier, on a fracturé à l'aide d'un presson le comptoir que Mme Pinet exploite quai St-Antoine. Les voleurs
- L'Echo de Lyon17 mars 1892. Auguste Marchis, de-meurant rue des Deux-Cousins, 3, a cons-p, taté hier, en ouvrant le « pied humide » qu'il exploite avenuedel'Archevêché,près de la gare de la Ficelle, que des voleurs
