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- Le Progrès Illustré21 décembre 1890
Causerie
débats budgétaires, que la plupart des orateurs qui demandent des économies avec le plus de conviction ont été ou sont encore, dans leur vie privée, des dissipateurs et des prodigues ? Quelquefois même ces parcimonieux et sages financiers sont pourvus d'un conseil judiciaire. C'est ainsi que, parmi les plus sévères et les plus âpres censeurs des gaspillages de la - Le Progrès Illustré11 janvier 1891
Causerie
et en Russie ; mais les agents français restent, en dépit de leurs échecs, des virtuoses incomparables. On peut citer assurément bien des crimes impunis en France, environ le manifesté son désir d'entrer au Parlement. Il fit, vers 1873, dans le département de Seine-et-Marne, une campagne électorale qui donna lieu à un incident bien amusant. Un soir, dans une - Le Progrès Illustré10 mai 1891
Causerie
, a dit un éminent philosophe, a une réputation redoutable et méritée. Il y a peu de gloire à la connaître et beaucoup de honte à l'ignorer. La moindre faute démérite son auteur, et ne pas savoir l'orthographe est une ignorance et un ridicule. » Le nombre n'est pas grand pourtant des gens qui n'hésitent pas fréquemment sur la - Le Progrès Illustré21 juin 1891
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cocher, et cest en qualité de confrère qu'il a envoyé 20,000 francs aux automédons des tramways et omnibus parisiens. Ici, nous avons aussi dans la haute société dite de Bellecour extraordinaires et burlesques, qu'on pourrait les croire fabriqués de toutes pièces par le plus fantaisiste des conteurs. Il est bien certain, par exemple, que Xanrof, Mae-Nab ou Alphonse - Le Progrès Illustré12 juillet 1891
Causerie
il vivait tranquille en ce coin du Forez. Les paysans de la région éprouvaient à son endroit une sorte de déférence superstitieuse, qu'il entretenait adroitement et soigneusement. En voyant ce grand vieillard d'aspect un peu macabre, vêtu d'un costume étrange qui tenait du bohème et du moine, souriant d'un sourire sarcastique comme celui de Voltaire - Le Progrès Illustré02 août 1891
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« Berland » avait organisé chez elle un véritable lycée du crime. Son taudis d'Asnières était une sorte d'institution où de hideux voyous recevaient des leçons de vol et d'assassinat. C, qui surgissent comme celles de Moenchenstein et de Saint-Mandé, à la fin d'une journée de fête. Il faut avoir vu les gares de la banlieue parisienne, par un beau dimanche soir d - Le Progrès Illustré18 octobre 1891
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temps à autre à une société dont l'intérêt est trop souvent l'unique pôle, qu'ici bas l'argent et l'ambition ne sont pas tout et que le sentiment a, lui aussi, ses revanches et ses aristocratiques faubourg Saint-Germain ou société dite de Bellecour quant à ce monde fossile et frivole où l'on se coifferait encore, si l'on osait, en ailes de pigeons, et qui se montre - Le Progrès Illustré08 novembre 1891
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et funèbre. Les choses en sont venues à ce point qu'on n'ose plus monter dans un train sans de véritables appréhensions. Au temps déjà lointain des diligences et des coches, on faisait son testament avant de se mettre en route pour aller de Lyon à Paris . La même précaution ne serait peut-être pas inutile aujourd'hui, pour les - Le Progrès Illustré20 décembre 1891
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Causerie A la grande joie des amateurs de mélos et des passionnés pour les grandes causes criminelles, Lyon va peut-être se'affaire Gouffé. C'est à Lyon, on s'en souvient, que la sémillante Gabrielle Bompard et feu Eyraud transportèrent, au fond d'une malle, le cadavre du trop galant huissier, et c'est dans la - Le Progrès Illustré03 janvier 1892
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Gamahut, lesquels entrent dans le crime comme dans une carrière. Il était intelligent, instruit et bien élevé; il avait l'honneur d'exercer la plus noble des professions et de éprouverait une sorte de soulagement à trouver la moindre excuse au sous-lieutenant Anastay. Mais on a beau scruter tous les détails de l'horrible drame et peser les aveux mêmes du
