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La Liberté : journal de Lyon09 juillet 1848, nous reccvoHS les nou vclles suivantes sur le mouvement carliste qui se fait dans les provinces basques. IRDK, 2 juillet. — Dans quelques villages de cette province (Guipuzcoa), plusieurs habitants se sont réunis au général Alzaa, qui s'est mis en marche hier vers la Navarre. Aux environs de Tolosa, quelques officiers carlistes, ren-trés depuis peu en Espagne, et
La Liberté : journal de Lyon15 juillet 1848arrestations, les exportations et les fusil-lades. Certains journaux critiquent M. Salamanca de fournir de l'argent au mouvement carliste et progressiste; si ce fait est vrai, VHeraldo Elio et d'autres chefs ont quitté Pam-pelune pour aller rejoindre les carlistes. On assure que le brigadier Ripalda et le général Sarasa se prouvent parmi eux. Le pronunciamiento
La Liberté : journal de Lyon18 juillet 1848
La Liberté : journal de Lyon21 juillet 1848offi-ciel, les pièces dont il accompagne ses nouvelles leur donne certainement une grande apparence de vérité. Kspagïie. Toutes les probabilités sont en faveur des carlistes en Na-varre. Il y a eu deux chocs dernièrement : l'un très favorable aux carlistes, l'autre adverse, comme il arrive souvent dans une guerre. Du reste, les carlistes s'organisent en toute tran
La Liberté : journal de Lyon29 juillet 1848juillet, sont ren-trés en France, par St-Jean-Pied-de-Port, les derniers débris ^es bandes carlistes. A la fin de la séance de la chambre des lords du 21 juillet, la chambre a adopté
La Liberté : journal de Lyon31 juillet 1848maintient, mais nos correspondants avouent qu'il a décuplé ses forces. Le Maëstrazgo est dominé par les carlistes. L'Estramadure commence à remuer. Irlande. Partout les clubs s'arment, les
La Liberté : journal de Lyon30 juillet 1848bandes carlistes ont paru dans l'Aragon et à Valence. Quelques chefs se sont réfugiés de Catalogne en France. D'autres sont rentrés de France en Navarre. Une nouvelle guérilla s
La Liberté : journal de Lyon02 août 1848chaque défaite où il a été exécuté, on le voit reparaître plus fort et plus actif. Les trabucaires carlistes sont la terreur de la Catalogne. On essaie d'organiser des mobiles
La Liberté : journal de Lyon03 août 1848sillonnés par des cabecillas car-listes. Cabrera est toujours en Catalogne, harcelant les colonnes christinos avec des détachements de 20 ou 30 hommes. Une proclamation du général
La Liberté : journal de Lyon07 août 1848régiment du Prince (Christine.) Cabrera, après avoir passé l'Ebre, est entré dans le Maës-trozgo, théâtre de ses anciennes prouesses. A Madrid, découverte d'une conspiration carliste, com
