Recherche : appliName:"presseXIX" type:("article" OR "illustration" OR "page") "pieds humides" id_title_s:"BML_01PER00302091_Le Bavard de Lyon" type:"page" AND NOT active_s:"INACTIVE" Tout droit réservé, Bibliothèque municipale de Lyon 2011-09-14T13:40:29.134Z PER00319791_2 2011-09-14T13:40:29.134Z Le Bavard de Lyon, N°11, pp. 3 , bu-vant un mêlé-cassis, au pied humide du quai Saint-Antoine. * Il y a eu, vendredi* dernier, grand festin chez Annette la Licheuse. Le Champagne a coulé à flots. Au dessert, on a homme. Laissez-moi le dire : cette mode est ridi-cule. EfAje ne n'ai que du dégoût pour ces lèvres de femmes, si roses, si pures, si vermeilles, humides des caresses léchées parle PER00315027_2 2011-09-14T13:41:48.165Z Le Bavard de Lyon, N°11, pp. 3 plus de l'Assommoir. On l'a vue l'autre jour, à quatre heures du matin, bu-vant un mêlé-cassis, au pied humide du quai Saint-Antoine. # Il y a eu, vendredi dernier, grand festin chez'essen-tiel est que cène soit pas un homme. Laissez-moi le dire : cette mode est ridi-cule. Et je ne n'ai que du dégoût pour, ces lèvres de femmes, si roses, si pures, si vermeilles, humides des PER00315024_0 2011-09-14T13:39:25.883Z Le Bavard de Lyon, N°8, pp. 1 W»P. 12. Les pieds humides,.., »-DE UTÛUfl. 13 Portrait mondain.... EMILE BRQISSAY. 14. Revue delà mode.... ■" RAYMONBE. 15. Balivernes L-MASSIN. 16. Théâtres D0RSAY. 17. Charade trouva Poujeard. Ce jour là, M" 3 de Lagrevol fut l'ange accusateur de Pru-d'hon ; la torche en feu, d'une main, il traî-nait, de l'autre, le misérable aux pieds de ses juges. Cette PER00319788_0 2011-09-14T13:39:25.848Z Le Bavard de Lyon, N°8, pp. 1 (D'Dvs-GBANOES) DAUBRUCK. S 9. Ce que j'aime BE SAINT-SOT 10. A couse-qui nous lisent \ peu...... L. AUGÉ-BRION. 11. Bourse de Cythère J. RICHARD. 12. Les pieds humides.... A-DE LATOUR. ! 13. Portrait-a, pérô ; il trouva Poujeard. Ce jour là, Me de ff Lagrevol fut l'ange accusateur de Pru-»j d'hon ; la torche en feu, d'une main, il traî-w Haie, de l'autre, le misérable aux pieds de ve PER00319788_2 2011-09-14T13:39:41.048Z Le Bavard de Lyon, N°8, pp. 3 tenu. Cours forcé. Très-lourd, ci Léger. Si J. RICHARD. m MOEURS LYONNAISES r, fa LES PIEDS HUMIDES \\ Chez la mère Pinet (quai des Célestins) , i i m Chaque pays a ses coutumes-J faisants abris? Et ce ne sont pas seulement les lyonnais qui doivent apprécier l'utilité dw pieds humides, ce sont surtout Jes ma/* raichers et marâiohèros qiii, levés bien avant le jour PER00315024_2 2011-09-14T13:39:40.916Z Le Bavard de Lyon, N°8, pp. 3 . Victorine. Bien tenu. Fonfon. Cours forcé. RositaBébd. Très-lourd. Tonine Françon. Léger. J. RICHARD. ,PIEDS" HUMIDES ; Chez la mère Pinet (quai des Cëlestins tolérés,d'utilesétablisssements, très justements baptisés : Les Pieds hu-mides. c Quel est le lyonnais, artiste ou gratte pa-^ pier, journaliste ou étudiant, cocher de fiacre ou employé