Recherche : appliName:"presseXIX" type:("article" OR "illustration" OR "page") "Gnafron" AND NOT active_s:"INACTIVE"Tout droit réservé, Bibliothèque municipale de Lyon2012-08-17T11:29:34.479ZBML_01PER0030300558_52012-08-17T11:29:34.479ZLa Construction lyonnaise N°9, pp. 6 Guignol, Gnafron et Madelon. Au revers de la stèle, sur le nu de la table, l'inscription suivante : Hommage aux principaux interprètes du Théâtre Guignol : Etienne Mourguet, RoseBML_01PER0030300489_42012-08-17T10:06:43.797ZLa Construction lyonnaise N°15, pp. 5LA CONSTRUCTION LYONNAISE GNAFRON. — T'as raison, Chignol, dans ma jugeotte de canut, je comprends pas pourquoi z'y n'ont pas déplanté toutes ces pierres et rapiauté le jardin, puisque le resseme-lage du rocher est achevé. GUIGNOL. — J'y comprend pas plus que toi, mon vieux Gnafron, et j'ai beau me creuser le cibouiot, je vois pas la raisonBML_01PER0030300489_32012-08-17T10:06:43.747ZLa Construction lyonnaise N°15, pp. 4-roussienne. A quand la réouverture du Jardin des Chartreux? La scène se passe en haut de la rue de l'Annonciade, vers ce qui fut autrefois le Jardin des Chartreux. Le bonhomm.e Gnafron, Vair Vauzelles ; la conversation s'engage entre Guignol et Gnafron. GUIGNOL (lui tapant sur l'estomac). — Tiens ! c'est toi, mon vieux Gnafron ; ça me ravigotte de te voir, ma vieillePER00315048_22011-09-14T13:43:25.761ZLe Bavard de Lyon, N°31, pp. 3 répondrait infailliblement : pas-que de pompier. A deux pas (si vous êtes las devoir nos belles petites patiner en public), vous avez un Gui-gnol, et surtout un Gnafron qui (histoire toutePER00315038_02011-09-14T13:43:12.455ZLe Bavard de Lyon, N°22, pp. 1'esprit, qui in-venta Guignol et Gnafron. Il montrait aux hommes des pantins : les hommes se sont reconnus. Ce théâtre minuscule est le seul où la vérité s'étale. Cette scène en minia dépit d'eux, mène encore les Gnafrons de lin-\ transigeance. Dieu me garde de philoso-pher. Les graves problèmes humains font bailler ma jolie lectrice. J'avoue qu'elle est adorable etPER00319802_02011-09-14T13:42:44.856ZLe Bavard de Lyon, N°22, pp. 1 CHEZ GUIGNOL Celai-ci fut un homme d'esprit, qui in-venta Guignol et Gnafron. Il montrait aux tiorames des pantins : les hommes se sont reconnus. Ce théâtre minuscule est le seul m la livres dorment dans la poussière des temps, doit envier du fond de sa tombe ce Canut agitant aux yeux de la foule ra-vie son Jean Guignol flanqué de son ami Gnafron. Je regarde cePER00319797_32011-09-14T13:42:37.516ZLe Bavard de Lyon, N°17, pp. 4-soig Edaievr rélum ; une a-imiratrice d'un jour-nal.té; Gustave et Marie; Sou-Karr-Ass ; un confectionneur de la veste future de M. X. A. Cidepru [sic] ; un gnafron et son voisin lé Nagu ; unPER00315026_32011-09-14T13:41:34.162ZLe Bavard de Lyon, N°10, pp. 4, c'est la même personne, envoyez. — Gnafron. Que vous êtes spirituel! —Francis Co. Merci, bien aimable mais ne nous parlezpas des femmes inscrites sur le registre desPER00319790_32011-09-14T13:40:25.451ZLe Bavard de Lyon, N°10, pp. 4 nais. Merci. Continuez. — Henry. Oui tlï'i I même personne, envoyez. — Gnafron Que Vn H êtes spirituel! -FrancisÇo. Uevoi, bienai_Jb„'-I mais ne nous parlez pas desPER00310345_22011-09-13T14:15:09.415ZL'Arrière-Garde, N°3, pp. 3 ressemblance avec Gnafron, le populaire compagnon de Guignol. Le père Thomas exerçait ses talents, à Lyon, de 1820 à 1830 environ. A cette époque, le quartier des Brotteaux, aujourd'hui si