Recherche : appliName:"presseXIX" type:("article" OR "illustration" OR "page") "Gnafron" AND NOT active_s:"INACTIVE"Tout droit réservé, Bibliothèque municipale de Lyon2010-04-22T13:20:00.341ZPER0034bd04cd49ee0c2010-04-22T13:20:00.341ZGrand concours de Cocottes et de CocodèsGRAND CONCOURS
DE COCOTTES ET DE COCODÈS
Rapport de M. Gnafron, commissaire |
du concours.
Messieurs,
L'appel fait aux Lyonnais a été entendu. L'intérêt pratique croire que celte partie de
l'exhibition ne lui a pas paru la moins intéressante; souhaitons,
en terminant, qu'elle ne soit pas la moins utile.
GNAFRON.
PER0034bd0499ecc3ad2010-04-22T13:06:10.496ZGuignol en colèreGUIGNOL EN COLÈRE
REVUE SATIRIQUE
Gnafron entre chez Quignol; celui-ci est en train de peigner
el de teindre sa radenetle; il est rasé de frais, il a
mis unpeu de fard mirer dans le cuir verni
de ses .souliers ; leurs boucles d'argent ont des rayons
de lune ; par extraordinaire ses mollets ont pris de
Vembompoinl. Gnafron émerveillé le regarde unPER0034bd04dbfa6b982010-04-22T13:23:56.897ZGuignol en colère-lasse. Il
tient à la main d'un air courroucé la brochure de feu
Dupin, sur « le luxe effréné des femmes; » Gnafron,
qui l'a aperçu de loin, s'avance avec la légèreté d'une
souris derrière son vieux camarade, et lui frappant à
l'improviste sur l'épaule :
GNAFRON.
Tudieu ! mon vieil ami, ta mine renfrognée
Méfait mal augurer du sort de la journée.
Qui tPER00310438_42010-01-15T16:29:15.740Zn°1, pp. 3 conseillers?... Allons donc!... Pas même des maçons!... Ce sont des auvergnats! >* SEPTIME. DIALOGUE DE LA RUE GUIGNOL. — Tiens, Gnafron, te voilà ! J'allais te chercher. GNAFRON. — Alors, t'as plus rien dans ta profonde ! GUIGNOL. — Pas un rond. Et toi ? GNAFRON. — Et moi non plus, mais je sis embauché. GUIGNOL. —T'as delà chance, malgréPER00312325_22010-01-15T16:33:02.829Zn°4, pp. 3 RUE GUIGNOL.— Hein! Gnafron, qu'est-ce que tu reluques sur cette affiche? GNAFRON. —Viens-y voir. Tu sais bien que je-ne sais pas déchiffrer les manigances de la z'im-primerie. GUIGNOL. — Alors, pourquoi que t'ouvres tant lesquinquets? On dirait que tu cherches des in-sectes dans ton pucier. GNAFRON. — Te sais donc pas la nouvelle ? GUIGNOL. —PER00312325_32010-01-15T16:33:02.946Zn°4, pp. 4LE DIOGÈNE LYONNAIS en portant la varliso du m'ami Miailleton que s'a-menait de Paris, pour voir la diva ! GUIGNOL. — Sais-tu ce que c'est qu'une diva ? GNAFRON. — Une diva? GUIGNOL. — Oui, une d..i.. di... v..a... va, diva ? GNAFRON. — Pas malin, parbleu !... « Va. » GUIGNOL. — Bugnasse ! GNAFRON. — Tu me dis : va !... JPER00310310_22010-01-15T18:58:34.234Zn°6, pp. 3 MISAI 1II» Guignol. —Vu l'absence des accusés, la parole est au ministère public. Gnafron.— On ne prouve pas 1Q soleil, on ne prouve pas la lune, on ne prouve pas le rôle ! C'est un suicide ! Les princes sont français ! Les princes sont patriotes ! Les princes sont des anges ! Gnafron (interrompant): — Précisé-ment ; il s'agit de leur couper lesPER00310305_22010-01-15T19:00:38.550Zn°1bis, pp. 3! Quelle épine tirée du pied ! On ne m'y prendra plus Allons voir si les comités ont commandé beaucoup d'affiches h Pour copie conforme GNAFRON. LES JOUEURS On naît joueur comme on naîtPER00310302_12010-01-15T19:02:12.499Zn°4, pp. 2 scène ; C'est Gnafron que m'en a flanqué z'une en me montrant le picou de Joséphine : — Dis donc, Chignol, qu'y me dit, on a donc abadé le pélican delàTête-d'Or !... ReluquePER00310302_22010-01-15T19:02:12.585Zn°4, pp. 3 ; Vous n'aviez pas l'intention. GNAFRON. DU PAYS DES GAGAS Le sixième Congrès Ouvrier Il vient de se jouer, dans notre bonne ville gagasse, une comé-die aussi profondément grotesque que