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Le Journal de Guignol : illustré, politique03 juin 1876Journal de Guignol illustré On mettra pus de l'eau dans le vin. Là-dessus, Gnafron se met n'à quincher : — Zut [...^Tais-toi donc, petit borniclasse, te nous feras manger que de canards et boire de pissat d'âne. Je n'ai vite fait taire mon Gnafron, que se préparait une mau-vaise affaire, et nous sont allés pus loin, voir la suite. A flanc de la
Le Journal de Guignol : illustré, politique03 juin 1876'escanner avé mon petit trognon que n'était prêt à partir, quand j'entends dans l'escalier Gnafron que beuglait, mais que beu-glait comme un veau que tète. « — Guignol ! Gui-guol! es ce grand marque-mal de Ducros nous a tout petafiné nos affaires. — Mais si ! si ! que rebàchait Gnafron, je te dis que ya de bons zigues que l'ont faite revien-dre. Allons
Le Journal de Guignol : illustré, politique25 juin 1887JOURNAL DE GUIGNOL GNAFRON. — Bon, j'ai comprenu; dépêche-toi, ça va chauffer. SCÈNE III Guignol, Madelon. MADELON. — Tas pus qu'à choisir maintenant entre lui et moi. GUIGNOL (à part). — Je peux pourtant pas me l>rouiller avé Gnafron, je peux pourtant pas non pus me brouiller avé la cariante, vu que ça m'embête de manger à la gargottc, je suis
Le Journal de Guignol : illustré, politique25 juin 1887? GUIGNOL. — Te sais ben que c'est [Gnafron que n'est le caissier. MADELON. — Ah ! ça se voit ben, son pif n'en de-vient si z'écarlate qu'on dirait qu'y n'a mis dessus un, puisque le sanque serait refoule z'au dedans. MADELON. — Cause toujours, y n'a qu'à s'a-mener, ton Gnafron, avé son picou si tellement rouge qu'y n'excite les taureaux; y n'a qu
Le Journal de Guignol : illustré, politique27 mai 1876. Ce qui m'occupe, ce sont les bêtes ; ça me connaît et je m'y intéresse. — Voyez-vous, père Gnafron, m'a dit un fonctionnaire du parc, les animaux, ça mange. Ah, voilà! J mois. (Pour les abonnés de la Décentralisation) dont la bonne ment. GNAFRON. CORS ET MUSETTES Aux élections législatives de dimanche dernier, sept INVALIDÉS, appartenant tous aux
Le Journal de Guignol : illustré, politique27 mai 1876ben, les gones, que j'y étais avè Gnafron. Y n'était arrivé caporal cordonnier, et y m'avait mis sous saprotectance. Eh ! ben, vrai , les gones ! vous pouviez pas croire comme Gnafron n'était d'aplomb. C'est lui que canait pas ; y te vous alignait des ranches de Purschiens, comme chez Mille il alligne'les ranches de bouteilles!... Moi, je sigrolais sus mes
Le Journal de Guignol : illustré, politique20 mai 1876Juif Errant, pièce qui fut jouée sous Louis-Philippe et sou-1 Empire. Un peu plus de libéralisme... s. v. p. ! GNAFRON. PREDICTIONS POUR LA SEMAI! PROCHAINE Par suite d'un changement
Le Journal de Guignol : illustré, politique20 mai 1876autres recommenciont de plus belle à se dire des sottises et, un peu de plus, on aurait dit qu'y z'allaient se prendre à tire-cheveux, à tout bout de champ. C'est Gnafron qu l'affaire de personne, mêmement que ça de-venait si tellement desagriable , que deux gones, habillés en gardes urbains, s'amènent, prennent mon Gnafron par les commodes, le portent
Le Journal de Guignol : illustré, politique20 mai 1876-cher le battant de la menistration. Adonque je dis à Gnafron: — Hardi, viens-t'en à Versayes. C'est nous deusso que sons le peuple souverain, eli ! ben, faut aller vitrer comment que nos comiyons d'arreprésentants se tirent de leur ovrage. Gnafron dit que voui : faut vous dire aussi que pour le décider, je lui avais promis que ly payerais pot à toutes les
Le Journal de Guignol : illustré, politique13 mai 1876. Le chagrin voile la beauté De Madelon, douée colombe; Et Gnafron, perdant sa gaité, Triste et rêveur, songe à la tombe. — Mais, pour connaître la douleur. Comme nous, Ô chères
