- Accueil
- collections
- presse Lyonnaise de 1790 à 1944
- résultat de recherche
4967 Résultats.
4967
- Le Journal de Guignol (1894)03 juin 1894LE JOURNAL DE GUIGNOL Alains et Marguerites 11 était sept filles de rois Qui, pour cueillir des pâquerettes, Un matin s'en furent au bois, Un bois où chantaient des poètes. Sept, projec-tions électriques, ascensions libres. L'Imprimeur-Gérant : L C0LMAM. mp. spéciale du Journal de Guignol, 20, rue Cavenne, Lyon effet contraire à vos conclusions. Voyez question
- Le Journal de Guignol (1894)03 juin 1894LE JOURNAL DE GUIGNOL si le gigot vocal doit être, de préférence, « piqué à l'ail » ? Marseille dirait oui, et le « Faubourg » peut-être ; mais je ne m'étonne plus si nos canta Fatou-si-Julie. La marraine est la soeur du directeur, M. Barbier. BEAUX-ARTS Exposition Tête-d'Or (Suite) GUIGNOL. — Si t'esse pas trop fatigué, mon vieux copain, nous vont nous
- Le Journal de Guignol (1894)03 juin 1894.de un ministère JEAN GUIGNOL i o-z'héros. ......... 0. HÉLÉGONE. eil municipal . . . . U. MAURICE TIC| S cléricales ...... . A. D. '.xposition de Lyon, . • • • <.x-Arts JEAN GUIGNOL sampilles que viennent leur z'y baver dessus. Chignol leur pro-met de mettre sa trique à leur dis-position pour carmer les plus entê-tés. JEAN GUIGNOL. DEUX-ZJÉROS! En 1870-71, les
- Le Journal de Guignol (1894)16 juin 1895LE JOURNAL DE GUIGNOL n'aurait jamais chassé, en réalité, que le cotillon. Mais un jaloux gitano — peu au cou-rant de la noble tradition des cours royales, qui veut qu
- Le Journal de Guignol (1894)16 juin 1895LE JOURNAL DE GUIGNOL NOUVEL ARRÊTÉ MUNICIPAL Y n' faut plus qu'un Grelot ! Air : Adèle, t'es belle ! D'puis que Gailleton a voulu Qu'on porte deux grelots et plus C'est un gras, bien beaux Et Lyon s'en port'ra pas plus mal Pour quant à moi c'a m'est égal. Jean GUIGNOL. LA BOURSEJT LA VIE Il signor Pulcnella Orispi — bran-lant dans le manche à la veille
- Le Journal de Guignol (1894)16 juin 1895LE JOURNAL DE GUIGNOL Ouverture de la Pêche UNE PAGE D'AMOUR Mes chers bozons, faites d'excusance, si je baffouille un tantinet en vous fesant ma narrance, mais, j'ai pas t, qui me dit; te l'aimais donc bien c'te donzelle ? GUIGNOL Ah ! je l'ai trop aimée, l'infidèle colombe ; Elle a fichu son camp, plus vite qu'une bombe Quand j'y ai demandé son grand
- Le Journal de Guignol (1894)23 septembre 1894LE JOURNAL DE GUIGNOL
- Le Journal de Guignol (1894)23 septembre 1894LE JOURNAL ÛK GUIGNOL heure à causer avec les hommes et s'a-venture volontiers sur des terrains brû-lants. Rien ne la déconcerte... Ce qu'elle ignore, elle le devine, ce qu'elle n'actualité et de réalisme. Nous enga-geons vivement les visiteurs à aller admirer l'oeuvre du peintre Castellani. Tous les acheteurs au numéro du Journal de Guignol ont droit à 50 0/0 de
- Le Journal de Guignol (1894)23 septembre 1894LE JOURNAL DE GUIGNOL que la réhabilitation du Demi, selon Les Idées de Mme Aubray. — A l'audience, Dumas a nié le pro-pos qu'on lui prête. Les témoins le con-tredisent nettement
