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- Le Journal de Guignol (1894)31 mars 1895LE JOURNAL DE GUIGNOL p.gant que la précédente union d'une déesse d'Orléans avec le roi de Portu-^ la été le signe avant-coureur d'une broutée spoliation des créanciers fran-6 ,'s
- Le Journal de Guignol (1894)31 mars 1895LE JOURNAL DE GUIGNOL M. Félix Faure a obéi à un sentiment qui lui fait le plus grand honneur, il a prouvé qu'il ne craignait pas de se montrer et que ce n'était pas la peur qui l même et de sa fiole et de la bobine de son ancien chande-lier, ou chancelier, comme vous voudrez. JEAN GUIGNOL. Lire dans notre prochain numéro : Les Rues à Lyon. Marche nuptiale « Le
- Le Journal de Guignol (1894)31 mars 1895POPULAIRE ANNONCES... '£ï à prix très réduits I S adresser : 20, rue Cavenne, 20 M. Félix Faure à Sathonay A NOS LECTEURS Apaftir de la semaine pro-chaine, te'Journal de Guignol sera Aux grands hommes la pa-trie reconnaissante. . . J. GUIGNOL. Marche nuptiale SAINTROPEZ. Chronique théâtrale. ... G. DE MYRTE: La joyeuse commère de Windsor 0. HÉLÉGONE. Revue des
- Le Journal de Guignol (1894)22 mars 1896LE JOURNAL DE GUIGNOL deux mortes-saisons annuelles, nos mai-sons ferment complètement le dimanche. Nous sommes donc, en réalité, beau-coup plus libres que nombre d'autres sa-tendons de pied ferme. A bons entendeurs, salut! PIQUE-PRUNE. Salon Yonnais (Suite GUIGNOL. — Eh ben, ma vieille, vons nous au Salon Yonnais jabotasser un brin de critique ? . GNAFRON
- Le Journal de Guignol (1894)22 mars 1896LE JOURNAL DE GUIGNOL La Fermeture Obligatoire LAÏQUE f???J MAIS PAS GRATUITE DES PETITS MAGASINS, LE DIMANCHE Dans notre précédent numéro, nous avons avisé nos lecteurs que nous
- Le Journal de Guignol (1894)22 mars 1896LH; JJURNAL DE GUIGNOL LES INONDATIONS GUIGNOL. — Eh ben, mes chouettes belins, n'y en a t'y aeu de z'irnondances dans toute la France, et surtout dans notre patelin. On lisait porte). GNAFRON (au dehors). — Eh Chignol, y es-tu? oui t'ou non? GUIGNOL (ouvrant). — Te jabote comme notre ancien dépoté Lachize, t'oublies d'aspirer le t. GNAFRON. — En fait que d
- Le Journal de Guignol (1894)22 mars 1896¥OI Avis. — La Direction du Journal de Guignol décline toute responsabilité de correspondances n'émanant pas d'elle et sans le timbre du journal. De même elle ne tiendra compte des «ont exclu-) 7, rue Quatre-Chapeaux sivement reçues/ ou au Bureau du Journal LES INONDATIONS DES CAVES GUIGNOL. — Reusement que Gnafron avait descendu le chelu, et je \itre la Dodon
- Le Journal de Guignol (1894)16 février 1896LE JOURNAL DE GUIGNOL ure au ministère des affaires étrangères^ sur l'exercice 1896, d'un CREDIT extra-ordinaire de 975,000 fr. pour les dépen-ses de la REPRESENTATION DE LA
- Le Journal de Guignol (1894)16 février 1896LE JOURNAL DE GUIGNOL LE CONCIERGE. — Ma foi oui, et ils auraient eu ma peau certainement. GNAFRON. — Mais est -ce qu'on de-vait pas z'en faire un hôpital? une ca-serne, etc. LE CONCIERGE. — Bonté divine ! mais personne n'en veut, c'est un vrai ton-beau. H y a même un individu qui élè/e des lapins à côté, il a refusé de la louer quand il l'a vu. GUIGNOL.— C
- Le Journal de Guignol (1894)16 février 1896L •: i URNAL DE GUIGNOL LES Invalides dn toi GUIGNOL. — Allons Gnafron, ma vieille, te vas te faire écraser le monil-lon aveque le tourniquet. L'EMPLOYÉ de la ficelle de St'inséparables même au tourniquet, recule Guignol, recule, que j'avance.... ouf, enfin m'y v'ià,mais pour sûr j'en ai une boye applatie comme-un matefaim. A ton tour, Guignol. GUIGNOL. — Allons bon
