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- Le Progrès Illustré23 octobre 1892
Causerie
- Théâtre donne lieu à une ou deux soirées, où le chahut, les cris d'animaux et les chansons variées remplacent l'opéra qui est censé se jouer sur la scène. On n'a pas failli celte année à : « Les matelots sont rigolos », et que la voix du ténor pauvre Raoul, ils l'ont trahi ! était couverte par le sacré refrain : « Esprit saint descendez en nous! ». Le tout accompagné - Le Progrès Illustré30 octobre 1892
Causerie
leur vie au dehors. Quand ils auront une loge habitable et des appointements leur permettant de vivre, la maison sera bien gardée et le propriétaire n'aura pas à craindre d'être un Causerie. Lyon, le 26 octobre 1839. On a fortement cambriolé cet été à Paris et à Lyon, et malgré la condamnation récente de l - Le Progrès Illustré29 janvier 1893
Causerie
disent les médecins et tous les gens de bon sens, - à la suite de maléfices lancés par des rivaux sans scrupules prétendent ses élèves. Car l'abbé Boulan était chef notoriété dans les lettres. Par contre il avait de farouches adversaires et à leur tête un autre Lyonnais, Joséphin Péladan, auteur incompréhensible de romans gonflés d'un prodigieux - Le Progrès Illustré26 février 1893
Causerie
comédie. Ce dialogue dramatique, M. Massenet l'a fait vivre par une déclamation musicale expressive et colorée et par l'enveloppement harmonique de la symphonie orchestrale qui s'ouvrage à Vienne et à Paris. C'est que Werther ressemble si peu aux opéras traditionnels! Par une évolution hardie, Massenet s'est placé d'un seul coup en tête de la jeune phalange qui - Le Progrès Illustré19 mars 1893
Causerie
de la séduction, toutes les femmes les plus follement capricieuses de cette société galante jusqu'à la dépravation, comme Mmes de Sancy et de Parabère. La petite sauvagesse, devenue à moi autant qu'à vous-mêmes. Mais le moyen au milieu des tristesses et des vilenies de l'heure actuelle ? Il n'y a qu'un mot pour caractériser le temps présent, c'est le vers de - Le Progrès Illustré16 avril 1893
Causerie
dans le « Jardin de la France ». En trois jours deux suicides et deux assassinats ! C'est un joli total. Les reporters sont littéralement encombrés de besogne par tous ces drames de la jalousie ou du désespoir - qui leur fournissent des « titres à cheval » si flamboyants et tant de copie sensationnelle. Des deux suicidés, dont l'état à l - Le Progrès Illustré23 avril 1893
Causerie
et du ciel bleu. Le matin, au lever, chacun interroge l'horizon anxieusement, Et c'est presque avec rage que nous constatons l'immaculée splendeur de son azur. L'humaine nature est ainsi faite : elle aime le changement. Le bonheur même, quand il est toujours pareil, lui devient insupportable, et c'est vraiment une vérité de sens commun que le vers classique : L - Le Progrès Illustré30 avril 1893
Causerie
Causerie Les récentes querelles entre Mages et Sars, s'invectivant au nom de la « Rose- Croix et du Beau-Séant » ont ramené l'attention sur les mystérieuses pratiques de la sorcellerie que ces bons toqués et ces étranges fumistes prétendent avoir retrouvées. N'ai-je pas moi-même exposé à cette place, sous une forme - Le Progrès Illustré07 mai 1893
Causerie
haut de forme n'est pas seulement incommode et horrible, voici maintenant qu'on le rend responsable de certaines maladies cérébrales. C'est M. Vallin, hier encore'élevait jusqu'à 40 degrés dans l'intérieur du chapeau haut de forme, lequel mérite ainsi, et sans métaphore, le qualificatif de tuyau de poêle. Avec une pareille chaleur - Le Progrès Illustré14 mai 1893
Causerie
Causerie Lyon, 11 mai 1893. Enfin il a plu ! Et cette fois ce n'est pas une ondée trompeuse, un arrosage de quelques gouttes, mais bien la pluie continue et Une des ciels gris - chargés d'humidité pour de longs jours. Sans être prophète en météorologie comme l'abbé Fortin, on peut prédire
