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- La Vie lyonnaise17 octobre 1868, dit une des habituées, si vous saviez comme nous sommes malheureuses îlaCIo-se.rie ferme et l'Alcazar n'ouvre pas. Voyez comme nous sommes vêtues! L'Alcazar ouvrait d'ordi-naire au
- La Vie lyonnaise10 octobre 1868le ciel étoile, au-dessous des planches, entre les gigantesques Ugues. — Tiens, fait un passant, voilà le gibet de Montfaucon ! ¥ * * Au cirque de l'Alcazar (près l'église), un mou
- La Vie lyonnaise10 octobre 1868plus loin encore que jamais. Stimulé par la concurrence qu'il voudrait faire au cirque de l'Alcazar, il annonce dans tous les jour-naux que sa représentation à Marseille au profit des pauvres a produit 1,300 fr. La concurrence est bien difficile. L'Alcazar paie pour le droit des pauvres 10,000 fr. par année. Lesvieillards — de tous âges — de l'Académie française
- La Vie lyonnaise19 septembre 1868autant les bals de l'Alcazar. Ces bals, ou plutôt ces soirées, commençaient d'habitude au premier septembre, et les voilà renvoyés, à cause du cirque, au pre-mier novembre. j Cela est d
- Le Cancan28 décembre 1876, à l'Alcazar : — Vous savez que notre ami B... épouse la petite Léontine. — Sa maîtresse?... Mais il lui a déjà donné toute sa fortune. — Précisément. C'est une manière très
- Le Cancan28 décembre 1876'être engagée pour tenir ledit emploi provisoirement. FEUILLETON DU JOURNAL LE CANCAN. tJîTYOYAGE^Ë^ÔGES DE LYON A SAN-FRANCMO i Un Bal à l'Alcazar. Dans les premiers jours de février de 1874 enceinte de l'Alcazar. Pourtant au milieu de cette foule bariolée, venue là ; pour voir et se distraire, émergeaient quelques grou-pes de danseurs et de danseuses, les uns à la solde de
- Le Cancan28 décembre 1876Désert, de Félicien David. IPaJ&Is sic ï'.-&ïca.5E»r. GRAND SKAT1NG. — L'inauguration du nouveau Skating del'Alcazara eu lieu samedi passé. Une foule énorme était venue y assister, et. A l'Alcazar, comme dans plusieurs établissements de Paris, on danse sur le bitume qui n'a pas à en souffrir, et cette surface plane et régulière est de la plus grande commodité
- La Tribune lyonnaise04 mars 1882-même, réduite d'ailleurs à un fort petit nombre de membres. Us ajoutent que le syndicat de la boucherie,les approuve de donner leur bal dans la salle de l'Alcazar et que le bénéfice.en sera
- Le Réveil lyonnais07 novembre 1881ses moyens et n'étant pas souvent interrompu, ' avait pu développer la thèse qu'il avait déjà j déployée a la Perle, à l'Alcazar et à Saint-5 Etienne. Malheureusement pour lui, la
- Le Réveil lyonnais04 avril 1882. On aurait bien voulu démolir l'Alcazsr pour y mettre lé marché, mais l'adminh -t ration a dû ajourner pour certaines consi-dérations. ! M. Clapot. — Le propriétaire de ,1'Alca-zar a
