Recherche : appliName:"presseXIX" type:("article" OR "illustration" OR "page") date:[1890* TO 1899*] id_title_s:"PER003100_Le Progrès Illustré" subject:"arts et loisirs/sport" type:"article" AND NOT active_s:"INACTIVE"Tout droit réservé, Bibliothèque municipale de Lyon2010-02-01T23:53:02.807ZPER001789302010-02-01T23:53:02.807ZCauserieMauprat, Jacques Causerie. Lyon, 17 juin 1896.
Le Grand-Prix est couru et cette épreuve illustre, qui fait du cheval vainqueur un très grand, le chauvinisme national n'a pas trouvé là cette petite revanche de Trafalgar et de Waterloo qui lui est parfois offerte sur la pelouse de Longchamps. D'où le manque dPER001106432010-02-01T23:28:56.125ZCauserieMauprat, Jacques auxquelles la bécane est inconnue et qui ne se servent du costume spécial à ce sport populaire que pour attirer l'attention. Pour que le port du costume masculin soit toléré aux femmes, il, nombre va croissant de jour en jour, et qui, à Lyon seulement, sont légion. Car d'après nos confrères parisiens, le Préfet de police aurait eu l'idée singulière de réglementer lePER00199552010-02-01T23:28:28.316ZLa bicycletteHamelle, Paul périr. Sur cette terre hospitalière au sportet à l'exil, le sport exilé réalisa de rapides progrès. Les ingénieurs, les mécaniciens se sont emparés de l'invention du père Michaux et, comme un cercle de solitude. Une pointe de danger ajoutait un attrait à ce jeu rare, relevait la qualité de notre plaisir, plaisir d'orgueil et d'égoïsme. Un sport était né, gracieuxPER00199532010-02-01T23:19:54.331ZCauserieMauprat, Jacques outrance dont je parlais tout à l'heure. Cette introduction de la femme dans le monde du sport est une révélation pour elle et sera presque la source d'une révolution dans les moeurs deCAUSERIE Lyon, 16 avril,1895.
Voici venir les temps printaniers où des milliers de Lyonnais et de Lyonnaises vont se répandre par les routes de notre région si pittoresque et siPER001105162010-02-01T23:06:21.531ZCauserieMauprat, Jacques Causerie
M. Emile Zola est un homme heureux. Il vient de faire un livre, Lourdes, prodigieusement ennuyeux et d'une lecture répugnante. Il n'est question dans ce roman que de tumeurs, de pus, de sanies d'hôpital. On ne peut le lire qu'en se bouchant le nez, et encore faut-il être doué d'un estomacPER001105082010-02-01T23:04:51.539ZCauserieMauprat, Jacques cruel que le châtiment suprême prononcé contre lui au nom de la loi. Bourreau et guillotine étaient là, prêts à fonctionner. Le misérable en était averti par les hurlements de la foule tua le curé Fricot. Ce dernier a, lui aussi, souffert « mille morts » et du fait de Bruneau. Souvenez-vous des détails du forfait, de cette lutte épouvantable entre les deuxPER001105062010-02-01T23:04:22.439ZCauserieMauprat, Jacques question, pendant plusieurs jours, de reporter au 2 septembre, l'ouverture de la chasse annoncée pour le 26 août ? Il faut avoir l'âme d'un fervent De St-Hubert et savoir qu'il n'est pas graissées et fusil prêt au feu, l'arrêté préfectoral.
Heureusement ce n'était qu'une fausse alerte. Dimanche, malgré l'ardent soleil, parmi les monts et les plainesPER001104922010-02-01T23:02:21.522ZCauserieMauprat, Jacques Lyon-Dijon-Lyon, est un excellent père de famille, employé toute la semaine dans un bureau et ne pouvant consacrer que d'assez courts loisirs à son sport favori. Il n'en a pas moins Causerie
Je savais bien que la bicyclette était une merveilleuse machine et d'un emploi chaque jour de plus en plus répandu. Mais, je confessePER001104842010-02-01T23:01:00.521ZCauserieMauprat, Jacques-Dijon et retour, pour les simples amateurs, avec de gros prix en argent pour les premiers et des objets d'art pour les seconds.
C'est une grosse besogne et un grand effort dont le Progrès s'est chargé là. Mais le « cyclisme » est aujourd'hui un sport si populaire qu'on ne saurait trop l'encourager et en favoriser l'essor. Cette fin de sièclePER001104782010-02-01T22:59:19.030ZCauserieMauprat, Jacques Boulevard, les interpellations de M. Paschal Grousset et les échos sur Coquelin l'aîné ou la belle Otero, les indiscrétions sur l'adultère du jour ou sur la pièce de demain, c'est-à-dire ces mille papotages qui emplissent d'ordinaire les loisirs du Parisien, tout cela est remplacé par des renseignements sur l'état des chevaux, par des pronostics sur le prochain