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La Construction lyonnaise01 mai 1912Guignol, Gnafron et Madelon. Au revers de la stèle, sur le nu de la table, l'inscription suivante : Hommage aux principaux interprètes du Théâtre Guignol : Etienne Mourguet, Rose
La Construction lyonnaise01 août 1909LA CONSTRUCTION LYONNAISE GNAFRON. — T'as raison, Chignol, dans ma jugeotte de canut, je comprends pas pourquoi z'y n'ont pas déplanté toutes ces pierres et rapiauté le jardin, puisque le resseme-lage du rocher est achevé. GUIGNOL. — J'y comprend pas plus que toi, mon vieux Gnafron, et j'ai beau me creuser le cibouiot, je vois pas la raison
La Construction lyonnaise01 août 1909-roussienne. A quand la réouverture du Jardin des Chartreux? La scène se passe en haut de la rue de l'Annonciade, vers ce qui fut autrefois le Jardin des Chartreux. Le bonhomm.e Gnafron, Vair Vauzelles ; la conversation s'engage entre Guignol et Gnafron. GUIGNOL (lui tapant sur l'estomac). — Tiens ! c'est toi, mon vieux Gnafron ; ça me ravigotte de te voir, ma vieille- Le Bavard de Lyon10 novembre 1881répondrait infailliblement : pas-que de pompier. A deux pas (si vous êtes las devoir nos belles petites patiner en public), vous avez un Gui-gnol, et surtout un Gnafron qui (histoire toute
- Le Bavard de Lyon08 septembre 1881'esprit, qui in-venta Guignol et Gnafron. Il montrait aux hommes des pantins : les hommes se sont reconnus. Ce théâtre minuscule est le seul où la vérité s'étale. Cette scène en minia dépit d'eux, mène encore les Gnafrons de lin-\ transigeance. Dieu me garde de philoso-pher. Les graves problèmes humains font bailler ma jolie lectrice. J'avoue qu'elle est adorable et
- Le Bavard de Lyon08 septembre 1881CHEZ GUIGNOL Celai-ci fut un homme d'esprit, qui in-venta Guignol et Gnafron. Il montrait aux tiorames des pantins : les hommes se sont reconnus. Ce théâtre minuscule est le seul m la livres dorment dans la poussière des temps, doit envier du fond de sa tombe ce Canut agitant aux yeux de la foule ra-vie son Jean Guignol flanqué de son ami Gnafron. Je regarde ce
- Le Bavard de Lyon04 août 1881-soig Edaievr rélum ; une a-imiratrice d'un jour-nal.té; Gustave et Marie; Sou-Karr-Ass ; un confectionneur de la veste future de M. X. A. Cidepru [sic] ; un gnafron et son voisin lé Nagu ; un
- Le Bavard de Lyon16 juin 1881, c'est la même personne, envoyez. — Gnafron. Que vous êtes spirituel! —Francis Co. Merci, bien aimable mais ne nous parlezpas des femmes inscrites sur le registre des
- Le Bavard de Lyon16 juin 1881nais. Merci. Continuez. — Henry. Oui tlï'i I même personne, envoyez. — Gnafron Que Vn H êtes spirituel! -FrancisÇo. Uevoi, bienai_Jb„'-I mais ne nous parlez pas des
- L'Arrière-Garde14 août 1869ressemblance avec Gnafron, le populaire compagnon de Guignol. Le père Thomas exerçait ses talents, à Lyon, de 1820 à 1830 environ. A cette époque, le quartier des Brotteaux, aujourd'hui si
