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La Construction lyonnaise01 février 1914en lui-même, en raison de sa constitution caractéristique, un élément de suicide. Le fait seul de comporter, par définition, une ossature mé-tallique, le condamne, en effet, à périr
La Construction lyonnaise01 octobre 1913miséricorde du seigneur : perte de la vie, d'un membre, de la liberté, des biens ou l'exil. Certains crimes ont cessé d'être réputés tels de nos jours : le suicide par exemple, qui- Lyon universitaire (1902)29 novembre 1912: Le suicide du général Nogi. — Richard Ranft : L'illustre famille (ro-man). — Henry Spiess : La journée di-vine (poésie). — Revue de la quinzaine. Revue des Deux-Mondes (directeur
- Lyon universitaire (1902)11 octobre 1912'incertitude et la certitude des signes de lamort et la médecine légale considérée dans ses rapports avec les lois, tels que les signes de la mort violente ou le suicide, les naissances tardives
- Lyon universitaire (1902)19 juillet 1912, oublieux de la pitié'la plus élémentaire, tant cet homme a su amasser contre lui de ran-cunes et de haines 1 On voudrait qu'il se fût suicidé : mais l'examen du squelette de Rousseau eût été piquant de prendre en flagrant délit de mensonge et de contradiction, celui qui écrivit, dans la Nouvelle Héloïse, une aussi noble et vigoureuse condamnation du suicide
- Lyon universitaire (1902)03 mai 1912victimes de la conquête de l'air : L'aviateur Verrept, qui se serait suicidé en provoquant la chute de son aéroplane, sur l'aérodrome de Châteaufort. Actualités : Les obsèques' nationales
- Lyon universitaire (1902)03 décembre 1911rang des complications générales, la fa-tigue, l'insomnie et, lorsque les affections cutanées intéressent des nerveux, parfois la neurasthénie, le suicide même. Aussi lorsqu'il a
- Lyon universitaire (1902)03 décembre 1911la neurasthénie, le suicide même. Aussi xpcctoi-antcome et antiseptiques Cadum
- Lyon universitaire (1902)30 juin 1911'une hauteur de plus de trois mètres, accident que d'aucuns dignes de foi rapportent à une tentative de suicide. Voilà ce qui ressort de la petite enquête rétrospective faite à notre
- Lyon universitaire (1902)28 avril 1911pour ceux qui l'aiment de tout coeur. L'idéal humain —ô francs-maçons et néo-malthusiens ! — ne peut être un rêve de goret. » « Le suicide d'une nation, conclut-il, est un crime contre l'Humanité. ;> L'Humanité a besoin de la France. * * * Mais est-ce bien suicide ? N'y a-t-il pas là une fatalité ethnique contre la-quelle il serait vain de lutter ? Les faits
