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La Liberté : journal de Lyon05 avril 1848frapper t Nos prisons n'appellent pas de septembriseurs ! Laissez dor-mir les piques de 93 , elles font horreur à tous et sont mau-dites à jamais. Le gouvernement provisoire et la presse
La Liberté : journal de Lyon16 août 1848, qui est sngulièrement piquée de l'abandon où vous la laissez. Faitis-lui un doigt de cour, mon cher hôte... Vous n'en tireres pas grand profit, il est vrai, mais aussi je n'y vois
La Liberté : journal de Lyon15 août 1848tutélaire des Maris inspirait alors M. de Scépeaux. Ce peu de mots calma l'effervescence de Grandville , qui se rejeta en arrière comme si une vipère l'eût piqué, et épar-gna à son ami la
La Liberté : journal de Lyon15 août 1848. Vous nous ■nn„ i • r ^e l'élégance de madame de Bannar : a-t-elle re-jeté son meuble à Turin? — « v 11116 je sacriS>> répondit Gustave d'un ton piqué. —
La Liberté : journal de Lyon13 août 1848vrais principes du plus précieux de tous les arts. » Le vieillard sourit d'un air malin, et, fixant ses petits yeux gris sur Gustave : — u Oui, oui, je me pique d
La Liberté : journal de Lyon12 août 1848dit-il, vous avez donc passé une saison entière à Aix ?... Etait-ce bien gai! tours eôthL Sa"che.de M-de Scépeaux , pareilles à sentes ->p,.Ique 8' drolte' anguleuses, décrépites et
La Liberté : journal de Lyon11 août 1848, repartit la comtesse légèrement piqué : il doit encore aller à Turin. — « Gustave , des excursions dans les Alpes !.. Je l'aurais cru de force à aller admirer la vallée de
La Liberté : journal de Lyon09 août 1848'était autre que Zagual, sortit de derrière le lit, fit rouler le cadavre près de la table où était la lampe. Il le piqua à plusieurs reprises de la pointe de son poignard, et n'aperçut aucun
La Liberté : journal de Lyon07 août 1848'armes de guerre devront se munir de faux, de haches, de piques, etc. " Chaque commune doit le pain pendant une semaine à la garde nationale, et, à défaut, une somme équivalente en ar
La Liberté : journal de Lyon06 août 1848balles et des piques , sont lâchement poignardés par derrière. Pour l'honneur de Lyon, qu'on n'y entende îplus de ces voix qui parodient le mot de l'Athénien d'Aristide. Que le nom de M
La Liberté : journal de Lyon03 août 1848camp a été formé à Everton. L'armée anglaise est forte de 60,000 hommes. Dieu sauve l'Irlande ! et que les piques des enfants d'R i aient raison des habits rouges ! Allemagne. —
La Liberté : journal de Lyon30 juillet 1848sont accordés à traduire ainsi : CAVAIGNAC SERA PRESIDENT. La Silhouette, qui se pique aussi de s'entendre un peu ei rébus , a trouvé une autre traduction ; la voici : CANARD SANS empruntons aux Nouvelles du Jour et à M. Barr"" 1' l'anecdote suivante sur M. Thiers; elle est aussi piquante qu peu connue. (in « Un soir, dit-on, dans un salwn de la rue Saint
