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La Liberté : journal de Lyon19 octobre 1848connu par ses piquantes révélations et sa jus-tesse de vues dit que le prince Louis aura à lui seul, sur les 4 millions probables de votants, 2 millions de voix, et que Cavaignac
La Liberté : journal de Lyon27 septembre 1848, LA SILHOUETTE joint. à un texte empreint de la satire la plus mordante et du plus piquant à propos , des caricatures pétillantes de gailé, d'humeur et de malice , et qui justifient
La Liberté : journal de Lyon24 septembre 1848de rebelles armés d'armes à feu, de faux, de piques, etc., ont repoussé jusqu'à Binkowitz les houlans requis pour les combattre. i n i i r | Les scènes de désordres qui s
La Liberté : journal de Lyon20 septembre 1848été arrachées, leurs chairs grillées, vendues, mangées même, pendant que leurs têtes étaient promenées sur des piques. C'est en représailles de ces sanglantes pro-vocations que l
La Liberté : journal de Lyon13 septembre 1848fois, il piqua des ^ lança au galop. , mmn inco"'!, Le lendemain, dès le grand matin, un nomme ^ ^ se présenta à moi. Il était vêtu de noir et av<* 9ini8lre' ^.uiteauvro^^ l
La Liberté : journal de Lyon07 septembre 1848. gouvernement depuis le 24 février une remar-que assez piquante; c'est que la plupart de ces personnages ont passé l'époque moyenne de la vie, et que de tous les gou-vernements qui se sont
La Liberté : journal de Lyon06 septembre 1848le milieu. Amaury, au lieu de voir dans cet événement un avis d'en haut, se prit, à rire, et, piquant des deux la moitié du coursnr qui lui restait, il s'élança avec elle dans la
La Liberté : journal de Lyon29 août 1848révol-tante ; les excès les plus honteux ont été commis : on a traîné des habitants par les cheveux , poursuivi avec des piques et des perches les fugitifs, qui cherchaient à se cacher
La Liberté : journal de Lyon23 août 1848commission d'enquête, sans cela il se serait épargné une contradiction d'un très-mauvais effet, de la part d'un philosophe rhéteur qui se pique de logique. Voici le passage de cette
La Liberté : journal de Lyon21 août 1848plus vrai, Quatre-Mains n'était que savetier. Nous le voyons encore devant sa porte, piquant ie cuir avec une noble résignation et maudissant les Bourbon» les
La Liberté : journal de Lyon19 août 1848des finances, raconte dans sa dé-position, d'une manière fort piquante,ce qui s'est passé dans une réunion politique, qui se tint chez lui bien avant le 24 février: « Dans la
La Liberté : journal de Lyon05 avril 1848'une assez inoffensive hilarité. V°P S-H n'y avau Pas uc cUaises autour des tables , ce qui a donné à ce banquet un air de pique-nique sur le pouce. __Nous extrayons du journal l
