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La Liberté : journal de Lyon20 décembre 1848'est piqué au jeu et a refusé le ministère du. commerce. Entre autres combinaisons pour remplir cette lacune, on parle de donner la marine à un amiral, soil M. Leblanc, soit M. Dupctit
La Liberté : journal de Lyon22 décembre 1848journaux ont publiée,. Il paraît qu'on élait mal informé. ■— Une aventure assez piquante est arrivée au préfet de police, à M. Gervais (de Caen). Ce magistrat était allé, en
La Liberté : journal de Lyon15 décembre 1848commerce soit enfin appelé à voir bientôt tomber les derniers obstacles qui s'op-posent encore à la libre navigation du Rhône, et notam-ment le> deux écueils de Roche-Piqué et des piles
La Liberté : journal de Lyon22 novembre 1848municipalité est si pauvre, m'assure-t-on, tin„'e.?e Peul se borner qu'à des voeux et à une interven-UOp-stériles. E verot MÉHAN. nia"^ 65 mots 'es P'"s piquants à propos des serments
La Liberté : journal de Lyon20 novembre 1848'esprit de la presse parisienne , LA SILHOUETTE joint , à un texte empreint de la satire la plus mordante et du plus piquant à propos , des caricatures pétillantes de gaîlô, d'humeur et de
La Liberté : journal de Lyon07 novembre 1848'est mise en mouvement, et que des milliers do paysans, armés de piques et de fourches, sont arrivés hier et avant-hier sur le sol au-trichien. Kossuth est en Transylvanie pour enflammer
La Liberté : journal de Lyon06 novembre 1848possible, du cavalier que j'ai piqué tout à l'heure; essavons. Je ne sais quel poète a dit, ce doit être Ovide, que, pour deveuir la consolation d'une femme,il n'y a pasdn meilleur moyen
La Liberté : journal de Lyon09 novembre 1848-je piquer l'un sur un fond de papier, Et faire sécher l'autre au milieu d'un herbier 1 Le papillon mourrait! la fleur serait fanée ! Laissons-leur à tous deux, la fin de la journée. J
La Liberté : journal de Lyon01 novembre 1848plus mordante et du p|u's piqUanT * propos , des caricatures pétillantes de gaité, d'humeur et de malice , et qui justifient pleinement son dernier titre àïlltus tralion pour rire. Ce
La Liberté : journal de Lyon01 novembre 1848contenu, sa diction simple et vraie n'excluent ni la gaîté, ni la malice, ni l'ori-ginalité; sa bonhomie est mordante, son laisser-aller pi-quant, et nul, mieux que lui, ne s'entend à
La Liberté : journal de Lyon27 octobre 1848un autre autographe non moins piquant, c'est un billet de l'illustre auteur à'Indiana, dans lequel Mme G. Sand écrit à dessein le duc Rollin au lieu de Ledru-Rollin, et invente pour
La Liberté : journal de Lyon20 octobre 1848résultat assez piquant, est qu'elle a terminé par un vote de confiance, un débat ians lequel il a été constaté de part et d'autre que la chose flui prouvât le moins en politique, c
