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- Le Bavard de Lyon21 avril 1881-l rées, confondant leurs larmes avec les pleurs I des belles petites. Amélie David, superbe d'assurance, coudoyé Madame PI Cécile, i la cravache à la main, adore le Dieu du 1 Golgotha
- Le Bavard de Lyon23 juin 1881renseignements plus exacts. — Lemcrcier. Mercï, continuez. — Un ex-amant de coeur de Cloclo. Merci, continuez. --Camille Muller. Certainement, envoyez. — Le roi de Pi-que. A
- Le Bavard de Lyon30 juin 1881vX,ot a ' > adZ,?PI'eT "«Variétés, mais nous'nous } PMUOH a constater que l'interprétation est à la hauteur de la valeur de l'oeuvre. Pour parer aux inconvénients de la chaleur
- Le Bavard de Lyon30 juin 1881éblouissant de satin, de faille ai -et d'or. Vos talons ont marché dans toutes ei •-les fanges. Vous avez relevé vos jupons, la P! petite, pour éviter la boue, mais vous pié-la 't
- Le Bavard de Lyon30 juin 1881-mêmes leur coupé. Cécile Châ-telain est une charmante cochêre. Pauline Desgeorges et Franchie ont leur voiture. Un grincheux murmure pi es de moi : « Destin singulier ! se conduire si mal
- Le Bavard de Lyon09 juin 1881dire même raideur pi-d'allure que l'amant de la Dulcinée du To-Ai :n-boso ; le corps est immobile, tandis que la ; •ce tête seule tourne comme sur un pivot et que P) de la parole s'échappe vive et abondante ; mais P( [ui qu'on ne s'y trompe pas, l'avocat railleur, Pi ses n'a rien de la physionomie du chevalier à L,< la triste figure, l'extérieur seul fait
- Le Bavard de Lyon16 juin 1881sapeur d'Eugénie ; Nez-Gros ; Q. Pi-don ; Jean de la Mouche ; Marius, amoureux d'Angèle Gervais ; L'amoureux d'Àritonia du Mont-Blanc ; Bavard ; Un rapin des Beaux-Arts ; Le coiffeur d
- Le Bavard de Lyon02 juin 1881'une rosière ; J. Rishman ; Un po • tard E. Patam ; Un cousin de la belle Delphi-ne ; Matou et Minette ; 3 v. du 122 ; Un fKpou-mir ; Quartier rend part des nez ; P. Pi-;< lot ; C
- Le Bavard de Lyon19 mai 1881le dahs toutes les classes de la Société et . pi parmi eux il en est de redoutables. oi On prétend aussi que le petit Chelu se-et rait au nombre des adorateurs assermentés. tr •'e n'en crois rien, il y eu a assez sans lui, ce même dans la cavalerie, pour laquelle Elo-m :llG eut une toquade. La naïve enfant, débuta, dit-on, au théâ-pi tre, alors qu
- Le Bavard de Lyon02 juin 1881^ possède outre ses assommoirs plus au moins ûiit.qriséSQU tolérés,d'uUlesétabliss.sements, Vfl] très justements baptisas ; Lç,s Pie.cls hvf-pa mides. ç,Ui Quel est le lyonnais, artiste ou gratte pa-^ pier, journaliste ou étudiant, cocher de ' ^ ftaoï'jS qu employa gttx vidanges, homme du -monde ou voyou, ouvrière matinale ou ro-" ^ deuse attardée qui ne connaît ces bien
