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Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire24 avril 1846^tammmHltÊtt GUÉRISON f DES llMALAD ES SECRÈTES IBOUYELIE! OJ AJOaiIK, Dartres, gales,rougeurs , goutte, rhumatismes , ulcères, écoulements, pertes tes plus rebelles, et de toute âcreté ou vice du
Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire25 avril 1846&ïi&i>ii&£ SECRÈTES NOUVELLES OU ANCIENNES, Dartres, gales rentrées, rougeurs à la peau, ulcères, écoulements, flueurs ou perles blanches les plus rebelles, affections rachiliques, rhumatismales, et
Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire21 avril 1846les traces, spécifique le plus actif, le plus certain et le plus prompt contre les âcretés et toutes les maladies qui ont leur siège dans le sang, telles que scrofules scorbut, gales NOUVELLES OU ANCIENNES, Dartres, gales rentrées*, rougeurs à la peau, ulcères, écoulements, (lueurs ou perles blanches les plus rebelles, affections rachitiques, rhumatismales, et de toute
La Tribune lyonnaise juillet 1846du lendemain fut employée à un gala chez le père Penaros; mais, vers quatre heures, Kerglus, obligé de se trouver à Brest pour l'appel du soir, fit ses adieux a la société. Tout le
La Tribune lyonnaise juillet 1846conscience. — ça ne m'étonne pas, répliqua galamment Penaros. — Eh! eh! l'ami Penaros, dit le jeune marin d'un i air taquin et sournois, le ne serais pas fâché, au retour t des
La Tribune lyonnaise juillet 1846el bandagistes, rue Puzy , n. 11. (30-7) j e"UÉ»IS©W I DES MALADIES SECRÈTES! S NOUVELLES OU ANCIENNES, I Dartres, Gales, Rougeurs, Goutte, Rhumalis mes, Ulcères, Ecoulements
Revue sociale15 mars 1845galant à la cour. (S'adressant tour à tour à divers seigneurs). — Hé bien! Paolo, comment vont les amours. — Avez-vous tué ce petit Riego ! Juan ? — Ça, l'on m'a dit
Revue sociale15 mars 1845chevalier se prit d'amour pour une belle châtelaine , et comme il était bien fait de sa personne et que nul paladin — de Paris à Damas — ne rompait une lance aussi galamment
Revue sociale25 mai 1845superbement couverts de galants habits de chasse et décorés de noeuds aux couleurs de !a dame. Je les voyais, ô fureur jalouse ! je les voyais au moindre écart, au plus im-perceptible heurt
Revue sociale25 mai 1845les grands chemins, à la recherche de mon rêve, la mandore sur l'épaule et l'épée bouclée au flanc; comme voyageaient les ga-lants trouvères de France, les joyeux ménestrels d
