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416                       LA REVUE LYONNAISE




                      LA « MARSEILLAISE »

            Française                              Grecque


                 I

Allons, enfants de la patrie,          T-ïîç ircrtpt&o; %'pwe;, eîa,
Le jour de gloire est arrivé!          E i n v?j; S6£YIÇ ^(*ipa!
Contre nous de la tyrannie,            Ot cpaûXoi SeaîTOTKi xaÔ' i){/.ûv
L'étendard sanglant est levé.          Aïpiato; 7iotoij<71 wft.ept.ov.
Entendez-vous dans nos campagnes,      Èv TO"; àpyoîç «jcouovTai
Mugir ces féroces soldats?             TOUTWV cpove'wv aï «pwvai ;
Ils viennent jusque dans vos bras,     Iaciv eî; t a ; àyîia^aç
Egorger vos fils et vos compagnes.     Ktavew Ttaî^aç, yuvaïxa;.

Aux armes, citoyens ! formez vos              MeÔ' orXwv TraXttatj
                     [bataillons;             È(TT£ otpaTiwi.ai, ,
Marchons (bis); qu'un sang impur       Eùye, S'jye, ^n|/r, cpaûXov
            [abreuve nos sillons.             AÃ[/.a •rcocrplç Mc-âv;    :


                 II                                    II

Que veut cette horde d'esclaves,       *ovéeç ouxot TÎ (io'JXovTai,
De traîtres, de rois conjurés?         BaciTieç xai SecTCÔTat ;
Pour qui ces ignobles entraves,        AÙGtTfpÛV TlSl TOÙTO VÔJJIWV

Ces fers dès longtemps préparés?       MaxpoS ^pôvou ti.9epi.evwv ;
Français, pour nous, ah! quel ou-      H[A£tç, *pay;cotr ûëpiÇo[/.eôa,
                             [trage!
Quels transports il doit exciter,      Aùttxa rcapî) tij/.«p''a!
C'est nous qu'on ose méditer           ÈOsXoisv aùtoîtpatal
De rendre à l'antique esclavage !      È[Aaç SoyXs'Jetv cocTUSp iraXai.

Aux armes, etc. .                             Me(T 07rXwv.. .'.